Revue TYPES 1 - Paroles d’hommes

Quel père ? Quel fils ?

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Revue TYPES 1 - Paroles d’hommes - N°1 Janvier 1981 

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QUEL PÈRE ? QUEL FILS ?

Paternité : " état, qualité d'être père " dit le dictionnaire. Etre père ? Quel désir ? Besoin de laisser des traces après sa mort ? Transposition d'une conscience angoissée par le temps qui coule ? Héritage ? Besoin de transmettre ?

Ces questions ne m'ont qu'assez peu agité. Le rapport à mon éventuelle paternité fut toujours une abstraction. Il est par contre une paternité que je connais bien pour l'avoir subie, celle qui m'a habité comme une puissance étrangère, celle de mon père.

Le récit de cette paternité-là mériterait un roman, des heures, des jours de stupéfiantes plongées au fond de moi. Je conterai ici (1) l'histoire d'une castration, d'une culpabilité, d'une incommunication dont je n'ai pas fini de démêler l'écheveau.

Je m'appuie sur quelques souvenirs douloureux entre mille. Enfouis, détournés pendant des années au profit d'une certaine manière de conter mon enfance comme une saga sociale...

LIT...SANGLES

J'avais cinq ans dans une cité d'urgence. Humidité... Souvent malade. Dans le lit de bois, je m'agitais, cognant, avec la régularité d'un métronome, ma tête contre le montant. Il supprima le montant. Coups contre la cloison, je poursuivait mon étrange jeu contre les mûrs. Il mit le lit au milieu de la pièce. Je sautais dans le vide. Le médecin rassurait : " ça lui passera ". Pas du tout, je m'obstinais. Tout un chacun s'habitua à cette manière de se bercer soi-même.

Une nuit, un peu plus tard, mon père ne trouvant pas le sommeil, vint m'intimer l'ordre de cesser cette manie. Coups, fessée... Une heure après, en dormant, je réitérais. Recoups. Pleurs silencieux, accroché aux draps. Terreur de cet inconscient non maîtrisable. Mais ma tête recommença... Alors mon père m'attacha dans le lit. Sanglé des nuits entières comme un fou dans une camisole de force. Un jour, j'ai cessé de me cogner la tête contre le mur.

Je venais d'apprendre, à sa manière, la contrainte.

RESTAURANT

J'avais huit ans. En Bretagne, dans le restaurant de son frère, mon père s'adonnait à la joie d'être le parrain de sa nièce. Grand banquet. Images d'abondance sur les tables décorées, du moins pour moi l'enfant qui mangeait tous les jours ou presque des pommes de terre. Ma mère, mes frères et moi étions relégués dans la cuisine, aidant les serveuses et lavant la vaisselle. Nous n'étions pas invités au homard. Ma mère pleurait, moi aussi. Ma conception de la solidarité familiale en prenais un coup ; je ne savais pas pourquoi ma mère m'émouvais, pourquoi j'éprouvais une impression d'abandon... Je considérais ce jour-là mon oncle riche comme un salaud et mon père comme un être injuste.

TABOURET

J'avais onze ans. Mon père avait à ce moment là quatre enfants. (Ma sœur naquit six ans plus tard) il trimait comme une bête et nous reprochait en toute occasion notre ingratitude pour les motifs les plus futiles.

Le chantage du " je me crève pour vous " ou " j'élève une portée de cochons " fonctionnait avec intensité. Culpabilité. Épuisé part le travail au noir et les " heures sup. ", nous ne le rencontrions essentiellement que pour être surveillés et frappés. Enfants défouloirs. Il organisait fréquemment des mises en scène punitives avec les instruments de la colère : ceinturon, orties... ça se passait souvent à la cave pour éviter que les voisins n'entendent nos hurlements.

Un soir, en fureur, il cogna ma mère avec un tabouret. J'avais essayé de m'interposer, vite balayé. Je devins suite à cette scène le confident de ma mère. Le couple des parents devenait une tragédie. Dans cette ambiance névrotique, se fabriquait pour moi le personnage de l'aîné fragile de santé, travaillant bien à l'école, aidant ses parents, respectant la dureté de leur vie, priant Dieu de les rendre heureux.

Le père nourricier l'emportait, me privant de l'affection que je recherchais sans cesse au travers de mes conflits avec lui.

BOUFFER LE NEZ

L'été où j'eus mon BEPC, je dis un jour à ma grand mère paternelle : " maintenant, j'aurai mon baccalauréat ". Elle me reprocha mon immodestie. Râleur, supportant mal ce que je comprenais comme une volonté de me nier, je lui répondais : " comme tu me hais, ça te ferais mal au ventre que j'aie mon bac ! ". L'incident fut relaté à mon père. Vengeur, il me mordit le nez en hurlant : " quelqu'un aurait touché un cheveu de ma mère, je lui aurais bouffé le nez ". Ses coups de poing me mirent K.O. Je conçus à la suite de cette scène, le désir de fuir cette famille dans laquelle tant de violences nous avaient été faites.

Mon père fut un homme qui n'a cessé de briser l'autonomie, la sexualité, les désirs de ses enfants. Classique... presque trop. Ce père, un jour attacha les mains de mon frère pour qu'il ne se masturbe ; pas il survenait en pleine nuit, soulevait brutalement les draps pour " vérifier " si je ne faisais pas " ça ". Ses paroles de tendresse furent aussi rares que furent nombreuses celles d'interdits.

Une morale religieuse manichéenne, l'obsession morbide de la pureté venaient renforcer, justifier le besoin de soumettre l'enfant. Si je bavardais ou exprimais ma joie de réussir en classe (car le système scolaire fonctionnait fortement sur la base de la compétition) j'étais orgueilleux. Si je m'amusais, J'étais paresseux. Si j'affirmais savoir ou me souvenir de quelque chose contradictoirement à lui, je lui tenais tête. Ce besoin d'obéissance, de l'humilité de ses enfants poussait ce père aux confins de l'absurdité, du sadisme. L'autorité, les menaces et les châtiments avaient raison de mes velléités de résistance. Tout aurait dû me séparer déjà de mon père, dans une période où je m'obstinais à croire tout simplement qu'il devait me montrer qu'il m'aimait puisqu'il affirmait agir en ce sens et porter cet amour en lui. Mais je ne discutais pas avec lui. Je butais sur les obsessions qui le composaient.

Tout ce qui était un tant soit peu opposé à lui chez ses enfants le terrifiait, quelque soit la force, la nature de cette différence. Alors " si la chair de sa chair " (ceux sur lesquels il avait probablement projeté l'essentiel de ce qu'il désirait réaliser) s'avéraient divergents de ses projections, il enrageait.

LA PEUR DE SOI-MEME

D'où lui venait cette peur ? Je ne peux qu'en distinguer les effets et les symptômes, ceux d'un malheur très profond. Pourquoi cette vision malheureuse de la réalité, plongeant dans les déluges de la religion chrétienne, sauvagement martelée dans une tête bretonne, aux confins du païen et du mystique ? Quand j'écoute les notes nostalgiques d'une harpe celtique, j'en ai la sensation rauque, indicible.

Ce père si éloigné fut pourtant proche, d'autant plus vivant en moi que je ne pouvais le désigner comme la source de ma tragique conception de l'existence. Il m'avait imposé le silence du corps, la domestication de l'esprit. Pas de cris devant la douleur. Pas de rires devant l'incongru ou le ridicule. Pas de dérision. J'étais empreint d'un mysticisme qui avait peuplé ma solitude. Je vivais du fait de mes diverses maladies, avec l'acceptation de ma mort comme une éventualité permanente. Cela contribuait à annihiler mes désirs, à me prendre au sérieux quand grondaient de dévastatrices révoltes. Révolté contre je ne savais pas encore quoi, et pour cause.

Castré, ignorant des bénéfices que l'on tire " d'être du sexe " qui impose la violence et la loi, j'étais " coupable " de ne rien vouloir pour moi. Mon père m'avait communiqué la peur de moi-même, jeté à la dérive de mes désirs si haïssables, si présents et fantasmagoriques, sans cesse issus d'un refoulé de terreur.

Pour nous " imbiber " de sa foi chrétienne mon père tenait des propos du genre ; " le Paradis nous attend si sur cette terre nous savons souffrir. Rien n'est gratuit ". La réalité sociale ne le démentait pas. Pauvres, nous faisions face et notre fierté nous épargnait bien des innocences. A huit ans, nous tuions la poule ou le lapin du dimanche pour lesquels nous avions ramassé de l'herbe sur le chemin de l'école. L'économie domestique : faire son lit, la vaisselle, repriser ses chaussettes, peindre sa chambre, ramasser des patates l'été pour quelques sous, nous avait été apprise dès notre plus jeune age.

Quel meilleur exutoire à la souffrance que le travail sacrifice dépassement ? Peu. Et enfin quel meilleur moyen de reconnaissance dans cet aride univers affectif pour un fils de " prolo " que la réussite scolaire. Peu aussi. J'étais toujours le premier en classe, les bourses étaient un puissant stimulant, j'en fis un titre de gloire, un retournement.

LE RETOURNEMENT

A quinze ans, je m'étais placé et trouvé expédié dans un autre monde, le lycée qui n'avait rien à voir avec la culture, les coutumes, les angoisses, les haines et les joies d'une famille ouvrière. Coupé de mon milieu d'origine, révolté, divisé devant les conséquences d'une ascension sociale, je ne voulais pas devenir un chef, un ingénieur, un " chien de garde ". Je n'avais aucune difficulté à porter la haine du bourgeois dans mes tripes ; entre les enfants de riches qui à l'école ricanaient de me soir affublé de leurs culottes de l'année précédente (concédées à ma mère par quelque dame patronnesse) et les fils de bourgeois qui se moquaient au lycée de mon mutisme, de mes maladresses, de ma pauvreté, il y a un point commun : le mépris. Du moins le ressentai-je ainsi. Les comportements de classe dans les années soixante avaient un aspect plus visible qu'aujourd'hui, poussant chacun à accuser les différences.

Cependant je vivais encore avec la pesanteur des conventions religieuses et la dramaturgie de mes espérances. La parole tant de fois réprimée ne m'était pas coutumière. Dans mon lycée de province, loin de lui, le rêve venait à la rescousse d'un moi mille fois violé, mille fois frustré, incroyable sensation de ne plus être. Comment ce refoulé pouvait-il sortir sinon par le désir qu'il fallait à tout prix construire ce que l'enfance avait gâché ?

J'entrais dans l'adolescence, habité par un homme dont je n'avais pu, ni su, capter l'affection. Je me décidais à retourner contre le monde entier, contre les mécanismes sociaux, contre des causes jugées rationnelles, la " surréaliste " infirmité affective de mon père à mon égard. Pour surmonter ce ressentiment qui me rongeait, il me fallait un but.

SE CROIRE UN AUTRE

Aucune phrase autre que celle de Jean Paul Sartre racontant son ami, son " frère " Paul Nizan, dans la préface à " Aden-Arabie " (2) ne me semble mieux décrire ce qui se passa alors en moi : " Or entre quinze et seize ans l'adolescent prit une assurance sur la vie éternelle ; dans un dernier effort, il demandait à l'église de lui donner l'immortalité. Trop tard, quand la foi s'est perdue, le dégoût du siècle ne suffit pas à la rendre. Il vécut son aliénation, il se crut un autre, déchiffra chaque minute à la lumière d'une autre existence. Partout il retrouvait les pièges qu'on avait tendus à son père... "

Une puissance étrangère m'occupa à l'instar de cet " Antoine Bloyé " (3) que Nizan décrit comme le pain de ses jours. Un père idéalisé, en somme, à travers lequel j'opérais un promus d'identification, conforme à une certaine vision sociale.

Ce père là avait eu une vie volée par le travail et la religion. Il s'était sacrifié, usé en d'harassantes tâches destinées à nous faire survivre mes trois frères et moi. Ceci est vrai. Mes origines de classe devinrent le ciment d'une lutte contre le système capitaliste pour " venger " un père idéalisé dans la " fière figure " du " prolo aux mains dures " épuisé, privé de bonheur. J'ai " prolongé " (du moins l'ai-je pensé ainsi) une histoire aliénée de prolétaire dans le choix de devenir un intellectuel " se mettant au service des travailleurs ". Transfert en même temps que choix identitaire, avais-je une autre alternative ? Je ne crois pas, car la genèse de mes sentiments fut aussi celle de mes besoins. Mon admiration pour cet homme qui " se crevait pour ses enfants " j'en ai gardé une trace à travers un petit poème écrit l'année de mes quinze ans :

" Il y avait un enfant, plante fragile, blanche.

Il y avait une femme, mère rouge de ses enfants.

Il y avait un homme, père ; sa main de menuisier appuyant sur mon épaule, un monde conquis au creux de la paume ".

SUBLIMATION

L'ouvriérisme, le côtoiement du " monde du travail " pendant les vacances scolaires, puis le fait d'être étudiant-salarié, me menèrent " presque naturellement " au syndicalisme, à la politique. Adhésion d'abord, communauté ensuite, responsabilité après, fonctionnariat enfin. Bureaucratie, pouvoir ? Certainement en partie, mais ma vie personnelle a tellement été habitée du désir de libération collective que je n'ai jamais su discerner quand je protégeais en moi une image de chef.

La référence à mon père, le ressentiment me gardaient de tout doute, de toute contradiction face à la nécessité d'agir pour une transformation révolutionnaire de la société. Tout était sublimé, produit d'une étrange réaction substitutive, réhabilitatrice. A partir d'une certaine intériorisation de l'expérience d'un père prolétaire, je suis passé à la permanence politique, à une affirmation publique. Un moi dilué dans des lendemains qui chantent (sous toutes leurs formes, même les plus passionnantes pour lesquelles je continue encore à me battre), s'était pénétré du père justicier. Un père qui alla jusqu'à dire à mon frère " je suis l'œil de Dieu sur vous ", Moïse en somme ! Mon but était devenu : feu sur les injustices, images mille fois multipliées de celles que j'avais récoltées plus jeune, soumis et écrasé.

MISE À JOUR

Pour pouvoir écrire, " raisonner ", ce que je viens de raconter, il m'a fallu revenir à la douleur subie et refoulée, " l'évacuer " : démarche analytique, mise à jour de mes transferts... j'avais mythifié le père nourricier dans un certain rapport à mon origine de classe... En défrichant mon passé, j'ai vu ressurgir un homme qui m'a opprimé et transmis des valeurs que maintenant j'ai du mal à vivre. J'ai redécouvert cette peur de soi-même, cette " instinctive " culpabilité devant tous mes désirs qui ne soient pas ceux qu'il admettait.

Admirateur de l'autorité dont avait usé sa mère à son égard, il la reproduisait. Identifié par la dureté de son travail et de ses conditions de vie, il en constituait un modèle. Profil classique du chef de famille se voulant exemplaire ! En se mariant, il avait peut-être choisi ce rôle, chassé de sa vie, par l'oubli de soi, refoulé, d'autres possibilités. La religion colmatait les risques (les désirs) de dérapage. Du moins, est-ce ainsi que je le comprends...

Son expérience, son vécu demeurent probablement plus complexes. Les effets de l'exploitation capitaliste, de la violence des rapports sociaux se croisent avec sa conception de la morale, de l'éducation des enfants, de la sexualité, du rapport aux femmes. Devenu " adulte ", je n'ai à posteriori retenu qu'une dimension de l'existence avec lui : celle de l'appartenance à la classe des prolétaires. Ainsi, refusant de me souvenir du détail des violences qu'il m'avait imposées, je justifiais toute son attitude comme la résultante d'un certain déterminisme socio-économique et religieux. Je légitimais, je donnais chair à mon militantisme.

Aujourd'hui, cette évocation de certains aspects du père réel et du père idéalisé me conduisent à une autre acceptation de ce qu'il fut, de ce qu'il est. Elle explique, en partie je pense, ma crainte de devenir père moi-même. De nouveaux questionnements commencent avec l'envie de vivre différemment.

DOUTES

Des doutes peuplent l'amour et le désir tels que je les vis. Je les relie à la conscience d'être, comme tout homme, relativement déterminé par la phallocratie, le patriarcat et les comportements virils.

Je m'appuie aussi sur mon propre itinéraire : n'est-ce pas par le biais d'une " castration " indiscernée que j'ai accepté comme allant de soi la justesse des théories féministes ? N'est-ce pas grâce au côtoiement de " l'oppression " subie par ma mère que j'ai saisi le sens des analyses dénonçant le patriarcat ? N'est-ce pas la désignation, par mon père, du corps des femmes

comme principal interdit, résultat de la haine contre sa propre sexualité qui m 'a incité à les connaître autrement ?

Les motivations, Les questionnements se mélangent chevauchant mon histoire d'" individu-fils " et mon histoire d'" individu-homme ". Je me méfie donc d'un " mécanisme " sommaire qui me rangerait de manière indifférenciée dans le clan des oppresseurs des femmes, comme celui qui m'amena à classer mon père dans le rang des victimes du système.

Je veux également échapper à la fausse " bonne conscience " qui m'amènerait à me proclamer innocent (hors-classe ? hors-genre ?) de l'oppression sociale exercée par la majorité des hommes sur la majorité des femmes.

Si j'adoptais l'un ou l'autre de ces comportements, je fuirais les interrogations liées à mon rôle d'homme. Dans le premier cas, il me suffirait de l'aveu : " oui, je suis un sale oppresseur, comme tout homme, mea-culpa ! dans l'attente du triomphe de la " juste ligne " d'émancipation du mouvement des femmes ! ". Dans le second cas, je me contenterais de dire : " moi, pas phallo... parce que... et de toutes façons je suis d'accord avec les féministes ". Dans un cas comme dans l'autre, je me laverais les mains.

Ne pas " se laver les mains ", c'est réfléchir à certains points obscurs de mes comportements actuels. Ainsi, j'ai l'impression de n'avoir " digéré " qu'une part de mon héritage de mec, de l'inconscient familial : celui de la rupture avec mon père idéalisé. Le désir de fusion/appropriation avec une femme, les formes de ma jalousie m'amènent à me demander si je n'ai pas remplacé le détachement du père par le besoin du maternage. Écho sombre du lien avec ma mère que j'empêchais un après-midi d'hiver de se suicider pour une enfant non voulue ? Une démarche personnelle reste à poursuivre pour mieux comprendre.

Une démarche plus collective, plus globale m'est nécessaire également pour envisager d'autres relations avec les hommes et les femmes, pour découvrir et transformer chaque jour les conditions qui conduisent à perpétuer le rôle d'homme, ses privilèges et ses aliénations.

Guy Tangorn

(1) Avec l'inconvénient du résumé : une saisie rationalisée à un moment donné.

(2) Aden-Arabie, Paul Nizan - Ed. Maspero, préface de JP Sartre.

(3) Antoine Bloyé, Paul Nizan - Livre de Poche.

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Revue TYPES - Paroles d’hommes - N°1 Janvier 1981

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