Revue TYPES 1 - Paroles d’hommes

Des sorcières comme les autres

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Revue TYPES 1 - Paroles d’hommes - N°1 Janvier 1981 

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DES SORCIÈRES COMME LES AUTRES

Même dans le milieu où je vis (d'intellectuels " progressistes pseudo-marginaux plutôt cools "), j'ai trop souvent l'impression que les hommes négligent, déforment ou écartent d'une manière ou d'une autre ce que disent les féministes sans essayer de le comprendre vraiment ; comme leurs pères étouffaient la parole des femmes quand elle dérangeait ou à certaines époques brûlaient des " sorcières " qui pour beaucoup refusaient simplement de rester à la place qu'on leur avait assignée.

Il m'est arrivé d'être accusé par des gens très différents en apparence, de subir " le terrorisme du discours féministe " qui m'aurait amené à " me nier en tant qu'homme ", simplement parce que j'avais fait miens certains arguments du mouvement des femmes concernant la sexualité et la vie quotidienne... et les modifications que cela entraînait dans ma vie (je ne vis plus beaucoup de situations comme auparavant).

Si je participe depuis deux ans à un groupe hommes, c'est en partie pour prendre conscience des causes profondes de mes attitudes, réactions et comportements en tant qu'homme et tenter d'en abandonner certains, les remplacer par d'autres. C'est une démarche volontaire à laquelle je tiens.

On me renvoie souvent à une espèce de culpabilité, " maladie " qui atteindrait certains mecs, leur faisant tenir des propos " contre-nature " et utiliser par exemple des termes, comme " phallocratie ", (dont il faudrait bien vite se débarrasser parce qu'ils ne recouvrent pas, ou plus exactement notre " réalité "...). Pourtant, je me sens atteint d'aucune " fièvre " féministe !

Je rencontre aussi d'autres hommes dont j'ai l'impression qu'ils se contentent de reproduire, le plus fidèlement, le plus servilement, les paroles des féministes, justifiant leurs arguments, y compris en se niant eux-mêmes.

Finalement, si les systèmes de défense changent, la sclérose demeure, liée d'une façon ou d'une autre aux problèmes de fond. Devant ce mur, je me sens devenir " hystérique ", moi aussi. J'ai envie de hurler et de tout envoyer promener. Mais je n 'arrive pas à me détacher de ce problème : comprendre les autres hommes en général et ceux dont je me sens proche en particulier. Pourquoi ne bougent-ils pas ? Qu'est-ce qui se passe ou plutôt qu'est-ce qui ne se passe pas ? Alors que " l'autre moitié du ciel " évolue, bouge, les hommes, eux, restent silencieux, immobiles ou changent chacun dans son petit coin. Pourquoi cette inertie ? Les hommes ne tirent-ils que des avantages du sexisme et de la phallocratie pour que seules des femmes remettent ouvertement en cause la situation actuelle ? N'ont-ils rien à gagner à ce que des changements dans les rapports entre individus se produisent ?

Je pense que le féminisme peut fournir un instrument d'analyse aussi riche que le marxisme pour me comprendre et comprendre la réalité et les individus qu'ils soient femmes ou hommes. Le féminisme a changé sinon bouleversé la vie d'un certain nombre de femmes et d'hommes directement ou indirectement, la mienne en particulier.

Sans le Mouvement de Libération des Femmes et les problèmes qu'elles ont soulevés, les idées qu'elles ont répandues, les changements qu'elles ont imposés, il n'y aurait probablement ni groupes d'hommes, ni ARDECOM, ni ADAM et pas de " Paroles d'hommes ". Toute une série de changements qui nous permettent finalement dans certains cas de mieux vivre, de mieux vivre des relations différentes, n'existeraient pas non plus. J'ajouterais que ce n'est pas toujours facile à vivre pourtant.

Je pense (j'aimerais bien) qu'il serait intéressant, alors qu'une expression masculine qui se veut autre et différente cherche à se développer, d'avoir des textes d'hommes expliquant leurs rapports au féminisme, avec les féministes : comment ils les ont vécu, ce que ça leur apporte, les points sur lesquels ils bloquent, ce avec quoi ils ne sont pas d 'accord...

Je propose s'il y a suffisamment d'articles sur ce sujet, qu'une rubrique régulière du hors-thème lui soit consacrée et qu'elle s'appelle : " Des sorcières comme les autres ".

Bernard Berthier

 

FORUM... AUSSI

LE PÈRE : ACTE DE NAISSANCE

Un livre de Bernard This ; Seuil - 1980 - 318 pages

Bernard This considère que la paternité existe et Il le démontre. L'auteur, reprenant des travaux de zoologie et d'ethnologie, présente le rôle du mâle, sa " disposition parentale " dans l'élevage des petits. Ainsi apprend-on que chez les manchots Empereur, c'est le mâle qui au cours d'un jeûne de deux mois, couve son œuf unique et secrète un " lait " destiné à nourrir le poussin après éclosion ". " En ce qui concerne les soins parentaux et les conduites qui n'exigent pas de capacités physiques particulières, il faut remarquer que, chez les poissons, le mâle est souvent celui qui prépare le lieu de ponte, ou construit le nid ; aère les œufs et les alevins, en les ventilant avec ses nageoires ".

Par contre chez les rongeurs, la femelle élève les petits sans l'aide du mâle : " il serait vigoureusement chassé s'il essayait de s'approcher du nid ".

L'auteur multiple les exemples apportant tour à tour confirmations, contradictions et nuances quant à l'existence de " l'instinct de paternité ".

A ces observations fait écho la présentation de délires de grossesse et d'accouchement chez des hommes ainsi que des mythes relatifs à l'homme enceint. Et d'en venir à la couvade.

Dans " Naître et sourire " (Aubier-Montaigne;  1975), B. This avait montré comment le basson de Pierre et le loup, régulièrement donné à entendre à l'enfant, était perçu à travers le ventre de la mère, et le marquait définitivement. Les sons étaient associés à la détente maternelle.

Avant la naissance, l'enfant réagissait à l'audition des graves par des mouvements significatifs. Après la naissance, dés que la bande sonore passait, l'enfant s'immobilisait et souriait. Les mêmes expériences réalisées avec la voix de la mère ne produisent pas les mêmes effets apaisant. Il ressort que l'enfant perçoit et reconnaît les sons graves, in utero, ce qui expliquerait la sensibilité des nouveau-nés à la voix du père.

L'auteur se demande dors si la couvade ne serait pas la présence d'une voix : " voix du père, éveillant l'enfant, incorporée en même temps que le liquide amniotique ".

De telles observations — trop brièvement présentées ici — sont des remises en cause convaincantes du mythe fusion-confusion mèreenfant.

Enfin l'auteur, psychanalyste, évoque le nom-du-père et la nécessité pour naître d'être référé à un père symbolique, d'être " trinité ". Laissons de côté la question, sur laquelle se termine le livre, de savoir si la psychanalyse réintroduirait la religion. Ménageons le lecteur ! (ou renvoyons-le au séminaire de Lacan intitulé : " Les non-dupes-errent ").

Notons que ce livre renferme, en bas de page, d'utiles références bibliographiques sur la paternité.

A lire donc, sans se laisser rebuter par quelques notations bien-pensantes et par la remontée au sommet de la trilogie père-mèreenfant qui traverse cette excellente démonstration.

Bertrand Hervieu

LE ROBOT MÂLE

de Marc Feigen Fasteau

Collection femmes

Edition Gonthier-Denoël (1980)

Dans ce livre, datant de 1974, récemment traduit de l'américain (1), je (on) découvre les éléments d'une critique des stéréotypes masculins, mis en relation avec les changements personnels dans la vie de l'auteur. En ce sens, je le considère comme un livre essentiel pour la réflexion des groupes hommes.

Pour ceux qui l'avaient déjà lu en anglais, il relate une expérience qui parait manquer d'originalité. Il ne fait que confirmer leur démarche. Pour moi dont le vécu d'une réflexion sur les rôles masculins et les comportements antiphallocratiques est plus récent, la lecture de ce livre a constitué une synthèse remarquable, une mise au point très accessible.

Qu'est-ce que le robot mâle ? C'est un être à part, différent des femmes, des enfants et des hommes qui, face à lui, ne font pas le poids. C'est un être fonctionnel, conçu essentiellement pour travailler... Il est prêt à entreprendre toute tâche qui lui est proposée dans un contexte de compétition, et rien ne le stimule mieux que la victoire. Son armure est virtuellement impénétrable. Ses circuits ne sont jamais brouillés, ni parasités par des interférences personnelles... Il respecte les autres robots mâles, mais il n'est pas intime avec eux. Il a du mal à connecter ses circuits internes avec ceux des autres. En fait, ces circuits demeurent pour lui un mystère, et il en confie l'entretien aux êtres du sexe opposé...

Sur ces créatures, le robot mâle exerce une autorité débonnaire et magnanime... Quant à ses servantes les plus belles et les plus laides, le robot mâle leur donne en récompense les fruits de son travail et les gratifie d'actes sexuels qui correspondent aux normes approuvées par les docteurs Reuben et Confort (2).

Cette ouverture du livre est comparable à la présentation d'un héros de science-fiction. Qui veut lui ressembler ? Qui lui ressemble ? Personne et tout le monde... Car ce robot n'existe pas ; mais il désigne de façon saisissante le rôle masculin. " Ce n'est qu'un stéréotype, une représentation idéale de le virilité, telle que la conçoit, à quelques nuances prés la majorité des hommes des États-Unis " explique Marc F. Cette philosophie domine notre vie, nos relations au monde. " Dans le stéréotype mâle, la virilité n'est pas une simple donnée biologique ; elle devient quelque chose qu'il faut sans cesse prouver et prouver encore, en sorte de quête sans fin. d'un " Saint Graal " toujours inaccessible. "

Le culte de la fermeté

A partir de ces grands constats, en reconnaissant que les stéréotypes mâles varient selon les " subcultures ", en évitant de recourir à des comparaisons directes entre hommes et femmes, Marc F.F. analyse, remet en cause l'idéal masculin. Pour y parvenir, il lui a fallu non seulement critiquer cette masculinité sur le plan intellectuel, mais aussi tirer les conséquences de cette autocritique dans sa vie personnelle. Ce souci donne au livre un aspect très concret : les exemples ne sont pas seulement choisis comme appui anecdotique à une thèse préconstruite. Ils sont tirés de la quotidienneté, de l'actualité politique et économique américaine, de l'expérience professionnelle de Marc. Ainsi vous saurez que Jhonson, Président des U.S.A., déclara, le lendemain du premier acte de guerre américain contre le Nord-Vietnam aux Journalistes : " Je ne me suis pas contenté de baiser Ho Chi Minh, Je lui ai aussi coupé le zizi ". Imaginez Giscard tenir de tels propos au lendemain du raids de Kolwezi ! (mais nos médias encensent la virilité d'une autre manière...). Ce détail apparais dans un chapitre consacré à la guerre du Vietnam et au culte de la fermeté en politique. Ainsi à propos de tous les thèmes abordés les exemples sont édifiants. Dans le chapitre " à la conquête du sexe ", Il cite un dirigeant d'entreprise affirmant : " la tendresse me donne envie de vomir ". Ceci appuie l'idée masculine très répandue selon laquelle avouer son désir, s'exposer à être refusé par une femme, est humiliant. " il n'y a pas de place dans l'idéologie mâle pour l'égalité face à l'amour ", en conclue l'auteur.

Le goût de la performance

Cet interdit : ne pas dévoiler ses émotions, en particulier à d'autres hommes, repose sur le tabou, la peur de l'homosexualité mais également sur l'obsession de la compétition. Ce refus de reconnaître sa propre vulnérabilité constitue le ciment de toutes les hiérarchies et des méthodes d'organisation du personnel dans les entreprises américaines (et françaises d'ailleurs !). Marc raconte des cas précis de mise en concurrence entre individus (dans une banque par exemple) dont l'objectif est essentiellement le maintien d'un esprit de compétition entre salariés. Ce souci d'exercer une domination se retrouve dans tous les secteurs de la vie de l'homme : dans le travail, dans la pratique du sport, dans l'exercice de la violence (verbale ou physique), dans le couple, dans le rapport aux femmes et aux enfants. Convaincu de sa supériorité sur la (les) femme(s), l'homme refuse de remettre en cause l'image de " puissance " qu'il s'est donnée. Treize chapitres dressent ainsi un portrait-robot de l'homme aliéné par les " valeurs masculines ". Cette idéologie portée par toutes les institutions : écoles, famille, patrie, médias, nous piège, dit l'auteur ; elle mutile en nous les richesses de la sensibilité, de relations plus égalitaires (et plus " interdépendantes " donc moins isolées) avec les femmes, de créativité.

Pas de simplisme dans cet ouvrage, mais une judicieuse mise en évidence de ce que nous pouvons nous attacher à transformer.

Il se conclue par un plaidoyer pour 1'" androgynie ", situation utopique qui tenterait de dépasser l'agressivité entre les sexes et l'individualisme au profit d'autres valeurs, d'autres comportements, d'autres institutions dans lesquels féminin et masculin seraient complémentaires. Pouvoir être doux et fort, simultanément ! perspectives exaltantes, non !

Jean-Yves SPARFEL

(1) " The Mâle Machine " - Mac Graw Hill - 1974

(2) Célèbres sexologues américains

 

A.R.D.E.C.O.M.

Association pour la Recherche et le Développement de la Contraception Masculine

L'ARDECOM regroupe des hommes désirant ou pratiquant une contraception masculine. En effet outre les méthodes mécaniques (retrait, préservatifs) et la vasectomie, il existe actuellement en France deux méthodes de contraception masculine :

— contraception hormonale

— contraception par hyperthermie scrotale.

La contraception hormonale est efficace, réversible, sans effets secondaires. Elle consiste en la prise de Progestérone et de Testostérone (produits commercialisés et utilisés depuis longtemps). Elle est utilisée par les groupes locaux de Lyon, Montpellier, Paris, Tours.

Le procédé par hyperthermie scrotale qui consiste à élever la température des testicules par le port d'un slip isolant et par un apport calorique intermittent est en expérimentation par les groupes locaux de Nantes, Paris, Toulouse et Tours et donne actuellement des résultats prometteurs.

Ces deux méthodes sont utilisées sous contrôle médical (examens biologiques, hormonologiques et spermogrammes) en collaboration avec des médecins, voire des institutions médicales (organismes et laboratoires de recherche).

La recherche est incluse dans une démarche de mise en question du rôle de l'homme, qu'il s'agisse de la vie sexuelle, de la relation aux enfants, du rapport avec les femmes ou entre les hommes. Des questions se posent sur la demande des hommes d'un moyen contraceptif, sur les résistances à la contraception masculine : des hommes eux-mêmes dans cette démarche, des institutions médicales, des pouvoirs publics et des mass media. D'autres questions sont ouvertes :

— Y a-t-il confusion de la puissance sexuelle et du pouvoir fécondant de la puissance sexuelle et du plaisir sexuel ?

— Quelles sont nos difficultés d'intervenir sur notre fonction productive biologique et/ou sociale ?

— Y a-t-il délégation sociale aux femmes du rôle reproductif et contraceptif ?

— Y a-t-il modification du rapport des hommes à leur corps ?

— Peut-on parler d'une nécessité biologique pour les femmes et culturelle pour les hommes vis à vis de la contraception ?

Le fonctionnement d'ARDECOM est le suivant :

— travail collectif de 14 groupes locaux (mixtes ou non).

— recherche commune avec le corps médical avec des moyens individuels vu le refus actuel des pouvoirs publics de financer cette recherche.

— diffusion des informations, des réflexions et des témoignages dans les mass media.

— réunions publiques, permanences et réponse aux demandes par courrier ; fonctionnement sur le fonds des adhésions (50 F par an)

— édition d'une revue " Contraception Masculine Paternité ", dont les n° peuvent être demandés contre 15 F pour le n°1 et 25 F pour le n°2 (port compris) à ARDECOM, 6 bis Rue Maindron 75014 Paris

 

TOUCHER... AVEC

PARIS

Il n'est pas simple de rentrer dans un groupe homme car une personne nouvelle peut déranger l'histoire du groupe et l'intimité qui s'y est créée. Mais depuis peu, deux groupes hommes se réunissant de temps en temps ensemble, permettent à des mecs qui veulent nous rencontrer, de le faire sans perturber le groupe de paroles. Si cela vous dit, écrivez à ADAM, on vous donnera la date, l'heure et le lieu.

BANLIEUE PROVINCE

Il existe des groupes hommes dans d'autres villes de France, certains sont fermés, d'autres sont ouverts. Si des mecs désirent être des points de contact groupe homme dans leur ville ou région, nous publierons leurs adresses dans le prochain numéro.

Lorsque plusieurs mecs d'une même ville et d'une même région écriront à ADAM, s'ils le désirent, nous les mettrons en relation entre eux.

Limoges : Alain Dahlem ; St-Paul des Ribes Condat 87110 SOLIGNAC

Lyon : ADAM René Dartry ; CEP, 44 rue Saint-Georges 69005 LYON

PETITES ANNONCES

Albertville : un groupe est en train de se créer dans le coin. Dominique L'hôpital, La Pallaz 73650 STE Hélène sur Isère

Proche banlieue Nord de Paris : pour créer un groupe sur ce secteur, contacter : Gérard Nicollet 15 rue Carnot 93430 VILLETANEUSE.

Tél.: 821.52.08

Banlieue Est de Paris : Moncef Belkhiria, 4 bd Aristide Briand 93100 MONTREUIL. Tél. : 287.89.43

INTERNATIONAL

" M - gentlemen for gender justice ". C'est le titre de la revue américaine. Au sommaire du numéro :

— adresses des groupes hommes.

— a man's perceptive on sex love and agression.

— the fœtus as penis : male self interest and abortion rights. et beaucoup de choses intéressantes.

Adresse : M Box 313—306 N Brooks Street Madison Wl 53175 U.S.A.

Souscription : 12 dollars US pour les Européens, 10 dollars US pour les Canadiens.

" Achilles Heel " : Le numéro 4 de la revue anglaise est paru. Il est consacré à : " les mecs et le boulot ".

On peut s'abonner pour trois numéros prix : 4.50 livres.

Adresse : Achilles Heel ; 7 St mark rise London E8 (Grande-bretagne)

CONDOM

COMPILATION DES DOCUMENTATIONS SUR LES MASCULINITÉS

Nous sommes en train de rassembler tous les livres, articles, témoignages individuels et collectifs, dessins, illustrations écrits en France et à l'étranger, concernant les groupes hommes, nos paternités, nos masculinités, nos sexualités... afin de constituer une bibliographie que chacun pourra consulter. Si vous êtes intéressés, si vous voulez nous aider, écrivez-nous. A bientôt.

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Revue TYPES - Paroles d’hommes - N°1 Janvier 1981

https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-01429398/document

 


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