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 Inventaire d’outils sur la violence
dans la communauté, chez les jeunes, dans les écoles, dans les milieux de travail
CSQ - Centrale des syndicats du Québec

1. La violence dans la communauté

La violence dans la communauté peut prendre de multiples formes et atteindre des groupes différents. Dans le cadre de ce volet, on se restreindra principalement à la violence envers les personnes aînées et les enfants, deux groupes particulièrement touchés par la violence, et la violence télévisuelle qui affecte en premier lieu le groupe des enfants. On ne peut dissocier la violence dans la communauté du phénomène des bandes de jeunes. Cet aspect sera cependant traité dans le cadre du volet de la violence chez les jeunes. Au Canada, comme dans plusieurs autres pays occidentaux, on travaille depuis plusieurs années à l’élaboration de programmes de prévention du crime dans les communautés et au développement de milieux de vie plus sécuritaires. Dans ce cadre, le gouvernement canadien fournit des ressources diversifiées et en grand nombre. Dans le même ordre d’idées, plusieurs organismes nationaux et gouvernementaux offrent gratuitement des outils de réflexion et d’intervention concernant la violence envers les enfants et les personnes aînées. On trouvera dans la section des sites Internet des adresses utiles en ce sens.

Le responsable du volet de la violence dans la communauté, dans le cadre de la Campagne de sensibilisation à la prévention de la violence à la CSQ, est monsieur Jean-Claude Tardif dont les coordonnées sont :

Jean-Claude Tardif
Responsable du volet : Violence dans la communauté
Tél. : (418) 649-8888, poste 3132
Courriel : tardif.jean-claude@csq.qc.net

L’ensemble des ressources répertoriées ici sont divisées en six sections :

Les données de base
Les outils de référence
Les outils de réflexion
Les outils de sensibilisation et d’intervention
Les vidéos
Les sites Internet


1.1 Les données de base

Quelques données sur la violence envers les personnes âgées


« En 1997, les adultes âgés de 65 ans et plus comptaient pour 2 % des victimes des crimes de violence signalés aux 179 services de police participant au programme DUC2. Près du quart de ces affaires avaient été commises par des membres de la famille (tableau 3.1). Dans les affaires où l’on a accusé un membre de la famille, les enfants adultes étaient soupçonnés dans 40 %, suivis des conjoints (36 %), des frères et sœurs (12 %) et des autres membres de la famille étendue (11 %). Tout comme dans le cas des affaires de violence conjugale, les femmes âgées étaient plus susceptibles que les hommes d’être victimes de mauvais traitements par un membre de la famille. Les membres de la famille étaient impliqués dans 29 % de tous les actes de violence commis à l’endroit des femmes âgées comparativement à 17 % à l’endroit des hommes âgés.

Les statistiques policières révèlent que les hommes âgés étaient proportionnellement plus susceptibles d’être agressés par un enfant adulte (41 %) que par un conjoint ou une conjointe (28 %). Par contraste, les femmes âgées étaient agressées aussi souvent par un enfant adulte (40 %) que par leur conjoint ou conjointe (40 %). Il n’est pas étonnant qu’une importante proportion de femmes âgées soient agressées par leur conjoint puisque bon nombre de ces cas se caractérisent comme une continuation de la violence qui a commencé antérieurement dans cette relation. Les recherches laissent entendre qu’il existe des forces qui perpétuent la violence à l’endroit de l’épouse au moment de la vieillesse, par exemple, une forte inhibition à exposer les problèmes familiaux, l’auto-accusation et l’anxiété au sujet des répercussions matérielles et personnelles du fait de quitter une relation de longue date.

Les voies de fait constituaient la majorité (85 %) des crimes de violence commis contre les adultes âgés par des membres de la famille. Les voies de fait simples, c’est-à-dire les voies de fait non armées ou ne causant aucune lésion corporelle grave, comptaient pour 70 % de ces affaires. De nouveau, selon la même tendance que celle qui a été observée dans les cas de violence conjugale, une proportion plus élevée de femmes âgées ont été victimes de voies de fait simples (74 % contre 61 % des hommes), alors qu’une plus forte proportion d’hommes âgés ont été victimes de voies de fait graves. » (Statistique Canada, 2000)

Principaux outils pour comprendre et contrer la violence envers les personnes âgées

Santé Canada (1999). Répertoire des services et programmes répondant aux besoins des personnes âgées victimes de violence au Canada, Ottawa, l’Organisme.

On peut consulter ce document sur Internet à l’adresse suivante :
http://www.hc-sc.gc.ca/hppb/violencefamiliale/html/older_adult_victims/french/index.htm

Vieillir sans violence (1999). (site Internet)

Excellent site sur la violence envers les aînés développé par la Faculté de l’éducation permanente de l’Université de Montréal. Ce site contient entre autres un portrait sur les types d’abus et de violence, les aides et les recours disponibles pour les personnes concernées. De plus, on trouve sur le site un test pour reconnaître une personne âgée victime d’abus.

On peut consulter le site à l’adresse suivante :
http://www.fep.umontreal.ca/violence/violence.html

Un symposium sur la violence envers les aînés a eu lieu en mai 2000 à l’Université Laval. Les responsables du symposium étudient présentement la possibilité de publier des actes de l’événement.

On peut consulter la page Web du symposium à l’adresse suivante :
http://www.fss.ulaval.ca/symposium-aqg/Que03.html#ancre554102


Quelques données sur la violence envers les enfants

Pour le Canada :

« En 1997, les enfants et les jeunes de moins de 18 ans comptaient pour 24 % de la population canadienne et ont été victimes de 23 % de toutes les agressions déclarées par la police. Ils comptaient pour une majorité de toutes les victimes d’agressions sexuelles (60 %) et près d’un cinquième (19 %) de toutes les victimes de voies de fait. Il importe de signaler toutefois que le nombre actuel de voies de fait contre les enfants et les jeunes dépassait celui des agressions sexuelles; il était près de trois fois plus élevé.

Dans le quart (23 %) de toutes les agressions contre les enfants et les jeunes (le tiers des agressions sexuelles et le cinquième des voies de fait) signalées à la police en 1997, un membre de la famille était soupçonné. Les filles et les garçons étaient les victimes d’agressions sexuelles commises par des membres de la famille dans environ les mêmes proportions (32 % et 29 % respectivement). Dans le cas des voies de fait, toutefois, les filles étaient comparativement plus susceptibles que les garçons d’être agressées par des membres de la famille et moins susceptibles de se faire agresser par des étrangers (29 % et 14 % respectivement).

Au sein des familles, les parents sont les principaux auteurs des agressions contre les enfants et les jeunes. Les parents représentaient 65 % des membres de la famille accusés d’avoir agressé physiquement leurs enfants et 44 % de ceux qui ont été accusés d’avoir agressé sexuellement leurs enfants (figure 4.1). Les frères et sœurs comptaient pour 19 % et 30 % respectivement, et les membres de la famille étendue (y compris les autres personnes liées par le sang, le mariage, l’union libre ou l’adoption) pour 9 % et 25 % respectivement. En dernier lieu, 8 % des voies de fait et 1 % des agressions sexuelles contre les enfants et les jeunes ont été commises par le conjoint. » (Statistique Canada, 2000)

Pour le Québec :

Le tout dernier rapport de l’Institut de la statistique du Québec (2000)  indique que : « [...] interrogées sur les conduites des adultes de la maisonnée à l’égard des enfants durant les 12 mois précédant l’enquête, les mères québécoises rapportent que 79 % des enfants ont vécu de l’agression psychologique au moins une fois (crier contre l’enfant, jurer à son endroit, etc.); 44 % en auraient fait l’objet à 3 reprises ou plus au cours de la même période.

Alors que 48 % des enfants auraient fait l’objet de violence physique mineure au moins une fois dans les 12 mois précédant l’enquête (taper l’enfant sur les fesses, le pincer, le secouer, etc.), 16 % l’auraient vécue à 3 reprises ou plus au cours de la même période.

Enfin, selon les mères interrogées, 7 % des enfants ont subi de la violence physique sévère au moins une fois dans les 12 mois précédant l’enquête (taper l’enfant au visage, frapper l’enfant avec un objet, lui donner des coups de poing ou des coups de pied, etc.); 1,3 % en auraient fait l’expérience à 3 reprises ou plus au cours de la même période. » (Citation tirée du site Internet de l’ISQ)

Principaux outils pour comprendre et contrer la violence envers les enfants

Clément, Marie-Ève et al. (2000). La violence familiale dans la vie des enfants du Québec, Québec, Institut de la statistique du Québec, 118 pages.

On peut télécharger ce document à l’adresse suivante :
http://www.stat.gouv.qc.ca/publicat/sante/violence.htm

Ryerse, Catherine (1999). Ressources pour la prévention de la violence envers les enfants dans le cadre de l’initiative de lutte contre la violence familiale, Ottawa, Santé Canada.

On peut consulter ce document sur Internet à l’adresse suivante :
http://www.hc-sc.gc.ca/hppb/violencefamiliale/html/child_abuse_prevention_resources/french/index.htm



Quelques données sur la violence dans la communauté


« Le taux de criminalité tel que déclaré par les services policiers du Canada a enregistré une diminution de 4 % en 1998, ce qui correspond à une septième baisse consécutive. Le taux de 1998 constitue le plus bas taux affiché depuis 1979. À l’exception de Terre-Neuve (+3 %) et de la Saskatchewan (+2 %), toutes les provinces ont signalé une baisse de leur taux de criminalité. Terre-Neuve a enregistré le plus bas taux (5 803 affaires pour 100 000 habitants), alors que la Saskatchewan a enregistré le plus haut (12 403). De l’ensemble des 2,5 millions d’affaires au Code criminel, 12 % constituaient des infractions de violence, 56 % constituaient des infractions contre la propriété et les 32 % restant concernaient d’autres infractions criminelles telles que méfaits, entrave à la paix, prostitution et incendie criminel. Le taux des crimes de violence a décliné pour une sixième année d’affilée en affichant une baisse de 2 % par rapport à 1997. Malgré ces récentes diminutions, le taux de crimes de violence était toujours 12 % supérieur à ce qu’il était il y a dix ans. Toutes les catégories principales de crimes de violence ont décliné en 1998, incluant les homicides (-6 %), les agressions sexuelles (-6 %), les voies de fait (-1 %) et les vols qualifiés (-3 %). Un total de 555 homicides ont eu lieu en 1998, ce qui représente 31 homicides de moins que l’année précédente. De manière générale, le taux d’homicide est en baisse depuis le milieu des années 70. Le taux de 1,8 homicide pour 100  000 habitants enregistré en1998 était le plus bas des trente dernières années. Les crimes contre la propriété ont chuté de 7 %, poursuivant ainsi une décroissance amorcée en 1991. Toutes les catégories principales de crimes contre la propriété ont diminué en 1998, incluant les vols de véhicules à moteur (-7 %), les introductions par effraction (-7 %) ainsi que les autres vols (-7 %). Mené par une chute de 8 % des crimes contre les biens, le taux de criminalité chez les jeunes, tel que mesuré par le nombre de jeunes mis en accusation par la police, a fléchi de 4 % en 1998. De manière générale, ce taux est en décroissance depuis 1991. Le taux de jeunes accusés pour des infractions de violence a aussi diminué (-1 %) pour une troisième année d’affilée. » (Tremblay, 1999)

Principaux outils pour comprendre et contrer la violence dans la communauté

Martel, Diane (1999). La peur du crime en milieu urbain dans l'ensemble de la population et chez les femmes, Direction de la santé publique de Montréal-Centre, 112 pages.

On peut lire un résumé de l’étude à l’adresse Internet suivante :
http://www.santepub-mtl.qc.ca/Publication/violence/crime.html

Conseil national de prévention du crime (1998). Pour un Canada plus sûr. Guide de prévention communautaire du crime, Ottawa, l’Organisme.

On peut consulter ce document sur Internet à l’adresse suivante :
http://www.crime-prevention.org/francais/publications/general/community/index.html



1.2 Les outils de référence

Clément, Marie-Ève et al. (2000). La violence familiale dans la vie des enfants du Québec, Québec, Institut de la statistique du Québec, 118 pages.

L'enquête « La violence familiale dans la vie des enfants du Québec » est la première enquête provinciale à fournir des données démographiques sur les différentes stratégies que les parents et adultes du Québec déclarent utiliser dans le cadre de l'éducation des enfants. Cette enquête téléphonique, réalisée au printemps 1999 auprès de 2 469 mères ou femmes responsables d'au moins un enfant âgé entre 0 et 17 ans, permet la toute première évaluation québécoise de la prévalence et de la fréquence annuelles de différents types de conduites parentales pouvant être adoptées lors d'une situation conflictuelle avec un enfant de 0 à 17 ans, notamment les conduites punitives sévères et très sévères. Les résultats rendent également compte des opinions et attitudes des parents envers la punition physique comme mesure disciplinaire et permettent de documenter les liens entre certaines formes de discipline et des variables individuelles, familiales et sociales. Enfin, si le présent rapport propose certaines pistes d'interventions préventives, il suggère, eu égard à l'importance de cette problématique sociale, une première action collective : faire de cette enquête, une enquête triennale permettant de suivre l'évolution des stratégies parentales à l'égard de l'éducation des enfants. (Citation tirée du site Internet du gouvernement du Québec)

On peut consulter ou télécharger ce document à l’adresse suivante :
http://www.stat.gouv.qc.ca/publicat/sante/violence.htm

Santé Canada (1999). Répertoire des services et programmes répondant aux besoins des personnes âgées victimes de violence au Canada, Ottawa, l’Organisme.

Le Centre national d'information sur la violence dans la famille, pour la première fois, vient de dresser une liste des services et programmes répondant aux besoins des personnes âgées victimes de violence au Canada. Dans cette édition, les 280 programmes et services sont répertoriés par province et territoire,  d'est en ouest, et apparaissent dans l'ordre alphabétique selon la collectivité où ils sont situés. Les programmes et les services sont présentés selon le type d'organisation et de services. Une description détaillée de chaque type d'organisation et de services figure à la page suivante. (Citation tirée du site de Santé Canada)

On peut consulter ce document sur Internet à l’adresse suivante :
http://www.hc-sc.gc.ca/hppb/violencefamiliale/html/older_adult_victims/french/index.htm

Centre national d’information sur la violence familiale (1999). Prévenir la violence familiale. Un catalogue de vidéocassettes canadiennes sur la violence familiale  à l'intention du grand public et des personnes spécialisées dans le domaine de la prévention de la violence dans la famille, Ottawa, l’Organisme.

Les titres sont classés par ordre alphabétique sous quatre grandes rubriques : Mauvais traitements à l'égard des enfants, Agression sexuelle d'enfants, Violence faite aux femmes et Mauvais traitements envers les personnes âgées. Toutes les vidéocassettes ont été évaluées par le personnel spécialisé du Centre national d'information sur la violence familiale pour s'assurer qu'elles étaient utiles, modernes et pertinentes, et que les sujets abordés étaient traités avec la délicatesse requise. (Citation tirée du site Internet de Santé Canada)

On peut consulter le document à l’adresse Internet suivante :
http://www.hc-sc.gc.ca/hppb/violencefamiliale/html/videofrench.html

Citoyenneté et Immigration Canada (1999). Répertoire national des organismes communautaires spécialisés dans la résolution de conflits, Ottawa, l’Organisme.

Dans l'ensemble, le répertoire renferme une liste des organismes communautaires spécialisés dans la résolution de conflits qui ne sont pas des services de médiation liés aux tribunaux, ni des services provinciaux ou municipaux ou des organismes de counselling. Ces organismes sont habituellement inscrits dans les répertoires de services communautaires. Il y a cependant quelques exceptions, comme un nouveau service provincial pour la résolution des conflits communautaires. Lorsque les organismes qui participent à des « programmes de médiation, victime-délinquant » sont inscrits, cela veut dire qu'ils offrent également des services de médiation non liés aux tribunaux.  Nombre des programmes de réconciliation entre les contrevenants et leurs victimes (PRCV) et les organismes de médiation liés aux tribunaux figurent dans le document intitulé Répertoire canadien des événements et initiatives en matière de justice réparatrice, publié par le Service correctionnel du Canada (septembre 1998). (Citation tirée du site de Citoyenneté et Immigration Canada)

On peut consulter ce document sur Internet à l’adresse suivante :
http://www.cic.gc.ca/french/newcomer/refdir/cr2%2Df.html

Centre international de prévention du crime (1998). Bibliographie internationale sur la prévention du crime.

Cette bibliographie annotée vise à faciliter l'accès aux principaux rapports et publications internationaux en matière de prévention de la délinquance. Elle inclut les ouvrages que le CIPC a jugés les plus utiles et prometteurs afin de répondre aux besoins exprimés et de mieux tirer profit du savoir-faire international dans le domaine de la réduction de la criminalité. Chaque référence est annotée afin de mettre en lumière ses éléments les plus pertinents. L'originalité de cette bibliographie est de se consacrer à une approche préventive fondée sur le partenariat entre organismes et citoyens en mesure d'agir sur les causes de la criminalité ou de modifier les situations propices à la victimisation. Elle ne couvre pas la documentation imposante sur les questions de la réinsertion sociale des délinquants et du règlement des conflits pour lesquelles il existe déjà de nombreuses bibliographies. (Citation tirée du site Internet du CIPC)

On peut consulter cette bibliographie à l’adresse Internet suivante :
http://www.crime-prevention-intl.org/francais/publications/action.lasso?-database=cipc02-publications.fp3&-layout=web&-response=rep1-pub.html&

Ministère de la Famille et de l’Enfance (1997). Vivre égaux et sans violence : répertoire d’outils de référence, Québec, Publications du Québec, 246 pages.

Ce document regroupe près de deux cents outils d’apprentissage et de promotion des rapports égalitaires et pacifiques recensés par le Ministère à travers la province. Il s’adresse à toutes les personnes qui s’intéressent à la prévention de la violence et à l’égalité des relations entre les individus. On y retrouve des programmes et sessions de formation, des guides de sensibilisation et de formation, des pièces de théâtre, des vidéocassettes, des documents d’information, etc., classés selon la clientèle desservie (enfants, adolescents, parents, etc.) et par thématique (comportements pacifiques, estime de soi, les relations amoureuses exemptes de violence, etc.). Une section concerne plus spécifiquement le personnel des services de garde et des écoles primaires et secondaires. Un index thématique et une liste des titres des outils facilitent également les recherches. (Citation tirée du site Internet de la Santé publique de Montréal)

On peut commander ce document aux Publications du Québec aux adresses suivantes :

Montréal
5, Complexe Desjardins
Niveau promenade
Téléphone : (514) 873-6101

Sainte-Foy
Place Laurier
2740, boul. Laurier, 3e étage
Téléphone : (418) 651-4202

Service téléphonique
Du lundi au vendredi, de 8 h 30 à 17 h.
Service à la clientèle:1-800-463-2100 (sans frais au Québec) ou (418) 643-5150.
Fondation Philippe-Pinel. Guide de ressources en prévention de la violence, Montréal, l’Organisme.

Sachant que la prévention de la violence nécessite un travail intense de sensibilisation et de préparation du milieu, nous espérons que ce guide des ressources facilitera le passage à l'action dans vos organisations. Notre principal objectif est de favoriser le partage d'expériences et l'échange d'informations entre les différents intervenants impliqués en prévention. Un tel guide des ressources permet également aux organismes d'éviter le dédoublement des actions ou tout simplement de réinventer ce qui existe déjà.  Par cet outil, la Fondation joue pleinement son rôle de promoteur des initiatives positives en matière de prévention de la violence. Néanmoins, nous tenons à souligner qu'il s'agit d'un guide-ressources et non pas d'un répertoire et nous espérons qu'il aura un effet interactif, car malgré tous nos efforts et l'intérêt que ce travail a suscité chez les organismes consultés, plusieurs ressources n'ont pas pu nous faire parvenir l'information demandée. (Citation tirée du site Internet de la Fondation Pinel)

On peut consulter ce document sur Internet à l’adresse suivante :
http://www.pinel.qc.ca/fondation/NouveauGuide/indexguide.htm

Conseil national de la prévention du crime (1997). Répertoire des organismes de prévention du crime. Ottawa, l’Organisme.

Le Conseil national de prévention du crime a recueilli des informations sur un certain nombre d'organismes canadiens œuvrant en prévention du crime. Le Conseil est conscient que ce compendium ne comprend pas toutes les organisations qui traitent de prévention. C'est pourquoi, il nous ferait plaisir d'en savoir plus sur le vôtre ou autres. Le répertoire fera l'objet d'une mise à jour annuelle. Ce document en continuelle évolution comprend deux parties. La première consiste en un répertoire téléphonique listant tous les organismes inclus dans le compendium. La deuxième se retrouve sur le site Web du CNPC et donne une brève description sur ces divers organismes. (Citation tirée du site Internet du CNPC)

On peut consulter ce document à l’adresse Internet suivante :
 http://www.crime-prevention.org/francais/publications/general/compendium.html


1.3 Les outils de réflexion

Martel, Diane (1999). La peur du crime en milieu urbain dans l'ensemble de la population et chez les femmes, Direction de la santé publique de Montréal-Centre, 112 pages.

Ce document, qui est le résultat d'une recension des écrits dits scientifiques sur le problème de la peur du crime dans l'ensemble de la population et chez les femmes, comporte quatre chapitres. Le premier chapitre porte sur la nature du problème, plus précisément sur le sens que revêt l'expression peur du crime dans les écrits sur le sujet. [...] Le deuxième chapitre traite de l'ampleur et de la gravité du problème de la peur du crime. [...] Le troisième chapitre, consacré à l'étiologie de la peur du crime, en présente diverses explications. [...] Le dernier chapitre traite de la prévention de la peur du crime. Le document se termine sur quelques recommandations. (Citation tirée du site Internet de la Santé publique de Montréal)

On peut télécharger une copie de ce document à l’adresse Internet suivante :
http://www.santepub-mtl.qc.ca/Publication/violence/crime.html

De Guise, Jacques et Guy Paquette (1999). La violence à la télévision canadienne,1993-1998 : Analyse des émissions de fiction diffusées par les six réseaux généralistes, Centre d'études sur les médias, 72 pages (Coll. Les Cahiers-médias, no 9).

À l'aide de l'analyse de contenu, les auteurs de ce rapport ont étudié en détail les émissions de fiction d'une semaine de programmation pour chacune des années 1993 à 1995 et 1998. Leur analyse, qui distingue la violence physique et la violence psychologique, aborde un grand nombre de variables : les caractéristiques de l'émission à l'intérieur desquelles sont répertoriés les actes de violence (genre, format, durée, langue, lieu de production, etc.), la nature de la violence, les caractéristiques des personnages en cause, etc. Globalement, les auteurs ont observé que le nombre brut d'actes de violence est en augmentation constante, la croissance étant plus marquée en ce qui concerne la violence physique que la violence psychologique. La violence diffusée au Canada est en très grande partie importée des États-Unis. Ainsi, le nombre d'actes physiques à l'heure est deux fois plus élevé pour les productions américaines que pour les émissions canadiennes, mais le Québec diffuse le plus grand nombre d'actes de violence psychologique par heure. (Citation tirée du site Internet du Centre d’études sur les médias)

On peut consulter la table des matières de ce document à l’adresse Internet suivante :
http://www.cem.ulaval.ca/publicationscadre.html


Vieillir sans violence (1999). (site Internet)

Excellent site sur la violence envers les personnes aînées développé par la Faculté de l’éducation permanente de l’Université de Montréal. Ce site contient entre autres un portrait sur les types d’abus et de violence, les aides et les recours disponibles pour les personnes concernées. De plus, on trouve sur le site un test pour reconnaître une personne âgée victime d’abus.

On peut consulter le site à l’adresse suivante :
http://www.fep.umontreal.ca/violence/violence.html

Guay, Danielle et al. (1996). Prévention de l'abus et de la négligence envers les enfants. Répertoire des activités et programmes québécois.

Toutes les régions du Québec ont fait l’objet de la publication d’un répertoire spécifique.

On peut obtenir ces documents en s’adressant à :

Régie régionale de la santé et des services sociaux de Montréal-Centre
Internet : http://www.rrsss06.gouv.qc.ca/

3725, rue St-Denis
Montréal (Québec)  H2X 3L9
Téléphone : (514) 286-6500
Télécopieur : (514) 286-5669

Régie régionale de la santé et des services sociaux du Bas-Saint-Laurent
288, rue Pierre-Saindon, 1er étage
Rimouski (Québec)  G5L 9A8
Téléphone : (418) 724-5231
Télécopieur : (418) 723-1597

Mathews, Frederick (1996). Le garçon invisible. Nouveau regard sur la victimologie, au masculin : enfants et adolescents, Ottawa, Centre national d’information sur la violence familiale.

En dépit du fait que plus de 300 ouvrages et articles sur les victimes masculines aient été publiés au cours des 25 à 30 dernières années, les garçons, petits et grands, demeurent à la périphérie du propos relatif aux enfants maltraités. Peu d'ateliers leur sont consacrés dans les conférences sur le sujet et il n'existe pas de programmes de formation spécialisés pour les cliniciens. Les évaluations spécifiques aux victimes masculines sont quasi inexistantes et les programmes de traitement sont rares. (Citation tirée de l’étude)


On peut consulter cette étude sur Internet à l’adresse suivante :
http://www.travel-net.com/~pater/garco-1.htm

Fédération canadienne des municipalités (1994). La violence chez les jeunes et les activités des bandes de jeunes. Réponses aux préoccupations communautaires, Ottawa, Solliciteur général du Canada, 36 pages.

La Fédération canadienne des municipalités (FCM) est heureuse de vous présenter ce manuel. Il a pour but de vous aider à comprendre la violence collective chez les jeunes, qui se manifeste dans toutes les collectivités canadiennes, grandes et petites, ainsi qu'à planifier et à élaborer des mesures pour prévenir cette violence ou la combattre. C'est un problème de plus en plus préoccupant, auquel il faut apporter une réponse globale, communautaire et équilibrée, caractérisée par la collaboration et compatible avec la formule des « villes plus sûres » de la FCM. Le manuel est fondé sur les conclusions d'une recherche et plusieurs entrevues et réunions avec des représentants de collectivités de toutes les parties du Canada, ainsi que sur une conférence nationale tenue en février 1994. (Citation tirée de l’étude)

On peut consulter ou télécharger ce document à l’adresse Internet suivante :
http://www.sgc.gc.ca/fpub/pol/f199456/f199456.htm

Lukawiecki, Teresa (1993). Sensibilisation et réaction de la collectivité : Violence et négligence à l'égard des aînés, Ottawa, Santé Canada, 1992, 58 pages.

Ce guide donne une information complète sur les sujets suivants : les définitions, les indices et la prévalence de la violence et de la négligence, la théorie des facteurs contributifs et les principes d'intervention; les stratégies communautaires, y compris les mouvements de défense, la formation, les protocoles, la mise au point des services, la prévention et les questions juridiques. (Citation tirée du site Internet de Santé Canada)

On peut consulter ce document sur Internet à l’adresse suivante :
http://www.hc-sc.gc.ca/hppb/violencefamiliale/abuseof.htm

Fondation Philippe-Pinel. Agir ensemble pour éviter la violence, bulletin mensuel d’information.

Créé dans le cadre du programme « Agir ensemble pour éviter la violence » et publié dix fois par année, ce bulletin de deux pages est envoyé par télécopieur à près de 500 organismes, ministères et institutions intéressés à la prévention de la violence. Le bulletin présente un article de fond sur un sujet d'actualité et de courtes « capsules » d'information sur des initiatives locales et régionales en prévention. On y annonce également des nouvelles, en provenance de différents ministères ou organismes, sur les ressources existantes ou encore le financement d'actions. Finalement, on fait connaître l'engagement social d'organismes et d’entreprises privées. (Citation tirée du site Internet de la Fondation Pinel)

On peut consulter ce bulletin sur Internet à l’adresse suivante :
http://www.pinel.qc.ca/fondation/txt_buleinfo.htm



1.4 Les outils de sensibilisation et d’intervention

Ryerse, Catherine (1999). Ressources pour la prévention de la violence envers les enfants dans le cadre de l’initiative de lutte contre la violence familiale, Ottawa, Santé Canada.

Tout au long de l’Initiative de lutte contre la violence familiale (1991-1996), le gouvernement fédéral a soutenu plus de 1 000 initiatives et activités de lutte contre la violence envers les enfants. Dans le cadre de ces initiatives, on s’est attaqué à divers problèmes relatifs à la violence familiale, au moyen de différentes approches, notamment la sensibilisation et l’éducation du public, la formation et le perfectionnement professionnels, le soutien et le traitement des victimes de violence et des agresseurs, le développement communautaire et la prévention de la violence envers les enfants. Ces initiatives ont donné à des collectivités des quatre coins du pays la possibilité de lutter contre la violence envers les enfants, en plus de les aider à mettre au point des stratégies et des ressources plus efficaces pour la prévenir. Le présent document porte uniquement sur les ressources pour la prévention de la violence envers les enfants qui ont été produites dans le cadre de l’Initiative de lutte contre la violence familiale, à l’intention des professionnels et des bénévoles, des parents et des enfants, des adolescents, des éducateurs, des radiodiffuseurs, du grand public ainsi que des organisations et des organismes qui s’occupent des enfants. Ces ressources fournissent des instruments de mise en commun des connaissances et des expériences, des modèles d’activités et de prévention de la violence envers les enfants de même que des lignes directrices et des cadres visant à faciliter l’établissement de comités et la mise au point de programmes et de campagnes. On trouvera dans la section ci-dessous, intitulée Activités de prévention de la violence envers les enfants dans le cadre de l’Initiative de lutte contre la violence familiale, un bref aperçu des types d’activités réalisées tout au long de l’Initiative de lutte contre la violence familiale. (Citation tirée du site de Santé Canada)

On peut consulter ce document sur Internet à l’adresse suivante :
http://www.hc-sc.gc.ca/hppb/violencefamiliale/html/child_abuse_prevention_resources/french/index.htm

Centre national de prévention du crime (1999). L’intimidation et la victimisation. Problèmes et solutions à l’intention des enfants d’âge scolaire, Ottawa, l’Organisme.

Les Canadiens sont très préoccupés par ce qu'ils perçoivent comme un accroissement de la violence et de l'agressivité dans notre société. Lorsque des jeunes sont en cause, l'inquiétude et la crainte augmentent et les gens ont l'impression que l'on ne parvient plus à endiguer la criminalité violente. Il est vrai que l'accroissement de la violence des comportements s'est accompagné d'une diminution de l'âge moyen des délinquants qui commettent des infractions violentes, mais il est également vrai que les victimes de la violence exercée par les jeunes sont habituellement d'autres jeunes. Pour prévenir la violence chez les jeunes et réduire le taux de criminalité violente, nous devons nous concentrer sur les signes précoces de comportements antisociaux. L'intimidation peut être l'un de ces comportements précoces qui contribuent au développement de structures de comportement antisocial. (Citation tirée du CNPC)

On peut consulter ce document sur Internet à l’adresse suivante :
http://www.crime-prevention.org/francais/publications/children/violence/index.html

Centre national de prévention du crime (1998). Pour un Canada plus sûr. Guide de prévention communautaire du crime, Ottawa, l’Organisme.

Les Canadiens veulent vivre dans des collectivités sûres. Étant donné que la criminalité peut avoir une influence importante sur notre qualité de vie, le ministère de la Justice en a fait l'une de ses priorités majeures. C'est dans cet esprit qu'il a décidé d'adopter une stratégie qui met l'accent sur la prévention du crime. La clé du succès de cette stratégie réside dans la participation de la collectivité. Étant donné que les sources de la criminalité et d'autres problèmes sociaux se trouvent dans la collectivité, seules les collectivités sont à même de trouver des solutions. Ce guide a pour but de faciliter la tâche aux collectivités en leur fournissant l'information nécessaire pour jouer un rôle de premier plan dans la protection de la société. Il sera utile à de nombreux intervenants, depuis les membres des groupes communautaires jusqu'aux praticiens de la prévention du crime. (Citation tirée du document)

On peut consulter ce document sur Internet à l’adresse suivante :
http://www.crime-prevention.org/francais/publications/general/community/index.html

Groupe de travail fédéral-provincial-territorial sur la sécurité communautaire et la prévention du crime (1998). Étape par étape : Évaluation des efforts de prévention du crime au sein de votre collectivité, Ottawa, Centre national de prévention du crime, 46 pages.

Le groupe de travail fédéral-provincial-territorial sur la sécurité communautaire et la prévention du crime a été constitué dans le but d’amener les intervenants concernés des gouvernements fédéral, provinciaux et territoriaux à collaborer à la réalisation d’objectifs communs. Dans le cadre de leurs travaux de concertation, les membres du groupe de travail ont élaboré des objectifs nationaux en matière de sécurité communautaire et échangé de l’information sur les progrès réalisés au sein des provinces et territoires ainsi qu’au niveau fédéral; ils ont de plus mené des travaux sur les pratiques modèles en matière de prévention du crime et sur les outils à l’intention des responsables sur le terrain, notamment ce guide détaillé sur l’évaluation; ils ont aussi échangé de l’information à ce propos. (Citation tirée du site Internet du CNPC)

On peut consulter le document sur Internet à l’adresse suivante :
 http://www.crime-prevention.org/francais/publications/general/step/step.html

Table de concertation Abus-violence envers les aînés de Laval (1997). Guide de dépistage et d'intervention abus-violence envers les aînés, avril, 56 pages

On peut obtenir des informations sur ce guide aux adresses Internet suivantes :
http://www3.sympatico.ca/njacob/l_abus.htm
http://www.cam.org/~rqiiac/iac/Textes/44-45/isabel.htm

Gendarmerie royale du Canada. Programme Échec au crime.

La violence dans la société de nos jours est telle qu'elle touche presque tous les éléments de la communauté. Les mauvais traitements infligés aux femmes, aux enfants et aux personnes âgées, de même que la violence chez les jeunes, sont devenus des phénomènes tellement courants qu'il faut envisager des mesures qui vont au-delà de la simple prévention. La communauté entière, y compris le gouvernement et les groupes de soutien privés, se voit au défi d'aller au-devant des parties en cause et de traiter les causes profondes de ces comportements inacceptables. Grâce à une collaboration mutuelle, peut-être parviendra-t-on à régler les problèmes qui perpétuent cette violence pour ainsi l'arrêter. La Gendarmerie royale du Canada est fière de son association avec Échec au crime, un programme communautaire visant à solutionner des crimes et des problèmes sociaux en collaboration avec la police et les médias. L'officier responsable de la sous-direction des services de police contractuels de la GRC, à Ottawa, est le représentant officiel de la Gendarmerie au sein de ce programme. Il lui incombe de promouvoir l'intégrité d'Échec au crime et d'appuyer le programme dans le meilleur intérêt de la population. (Citation tirée du site Internet de la GRC)

On peut obtenir des informations concernant ce programme à l’adresse suivante :
http://www.rcmp-ccaps.com/french/cstoppers.htm

The ARA Consulting Group Inc. (1994). Les personnes âgées et la violence dont elles sont victimes : de la participation à la responsabilisation, Ottawa, Santé Canada, 22 pages.

Ce document a été commandé par le groupe de réflexion sur les mauvais traitements infligés aux aînés, dans le cadre d’une évaluation de l’Initiative de lutte contre la violence familiale à Santé Canada. Pour traiter une question relevée par les membres du groupe de réflexion, le document explore le rôle actuel et futur des Canadiens âgés en tant que participants actifs à la prévention et aux interventions contre la violence infligée aux aînés. Il propose des moyens, pour l’Initiative de lutte contre la violence familiale, d’appuyer les efforts de prévention et d’intervention qui misent sur le savoir-faire et les connaissances des Canadiens âgés. (Citation tirée du site Internet du Centre national d’information sur la violence familiale)

On peut consulter ou télécharger ce document à l’adresse Internet suivante :
http://www.hc-sc.gc.ca/hppb/violencefamiliale/abuseof.htm

MacLeod, Flora et Brenda Dafoe (1994). Violence et négligence à l’égard des personnes âgées : Atelier de sensibilisation du personnel en milieu de travail, 39 pages.

Ce guide montre, étape par étape, comment organiser et donner une séance d’information préliminaire d’une heure sur la violence et la négligence à l’égard des personnes âgées. Il renferme des renseignements de base sur la violence et la négligence à l’égard des personnes âgées, des suggestions d’introductions et de choses à dire sur un sujet, un programme de séance, des réponses à une série de questions, des idées d’activités et des documents à distribuer. (Citation tirée du site Internet du Centre national d’information sur la violence familiale)

On peut consulter ou télécharger ce document à l’adresse Internet suivante :
http://www.hc-sc.gc.ca/hppb/violencefamiliale/abuseof.htm

Association canadienne des radiodiffuseurs (1994). La violence : ne restons pas indifférents -  1001 idées de radiodiffuseurs, Ottawa, l’Organisme.

La violence : ne restons pas indifférents - 1001 idées de radiodiffuseurs est un livret  de 18 pages produit à l’intention des radiodiffuseurs et des télédiffuseurs dans le cadre de la campagne La violence : ne restons pas indifférents. On y retrouve les meilleures idées de programmation et d’initiatives communautaires mises de l’avant par les radiodiffuseurs canadiens pour mettre un frein à la violence. La campagne comporte d’autres éléments, notamment des codes de pratique volontaire, une programmation sensible au problème et une campagne de messages d’intérêt public présentés dans l’ensemble de l’industrie de la radio et de la télévision. Dans 1001 idées de radiodiffuseurs, on retrouve des exemples et des idées sur la façon de donner un angle local à des thèmes nationaux (en mettant l’accent sur les adolescents sans foyer, l’étude de la criminalité chez les jeunes, l’établissement du profil des victimes de violence, la promotion de la prévention de la criminalité et le suivi des nouvelles et des événements de l’heure), l’utilisation de « talk-shows » et de lignes ouvertes pour s’attaquer à un problème, l’organisation de campagnes de financement pour soutenir des œuvres de bienfaisance et des clubs philanthropiques qui viennent en aide aux victimes de violence, l’enrichissement et le renforcement de la collectivité et de la nation grâce à l’organisation de festivals, au parrainage des programmes de surveillance de quartier et à la promotion de Parents secours, la lutte contre la criminalité (par exemple, les programmes de surveillance de quartier, les programmes Parents secours, Échec au crime), les programmes destinés aux enfants, les promotions et les messages d’intérêt public et, enfin, lutter contre la violence à la télévision en adhérant à un code industriel volontaire, en sollicitant l’opinion des téléspectateurs, en établissant des lignes directrices pour la programmation, en appuyant la prise de mesures dans l’ensemble de l’industrie et en réglant les plaintes. Dans le guide, on trouve aussi des conseils sur les moyens d’amener la collectivité à se prononcer contre la violence et d’exploiter les activités et les projets communautaires comme source de faits, de capsules ou d’idées et d’interviews possibles en vue d’émissions spéciales. La campagne a également débouché sur l’élaboration de conseils pratiques pour contrer la violence, série de conseils pratiques et conviviaux visant à aider les Canadiens à mettre un terme à la violence et à se doter de collectivités plus sûres. Les documents produits dans le cadre de la campagne La violence : ne restons pas indifférents sont offerts en anglais et en français. (Citation tirée du site Internet de Santé Canada)

On peut obtenir des renseignements sur ce document à l’adresse suivante :

Association canadienne des radiodiffuseurs
306-350, rue Sparks
Ottawa (Ontario)  K1R 7S8
Téléphone : (613) 233-4035
Télécopieur : (613) 233-6961



1.5 Les vidéos

Centre national d’information sur la violence familiale (1999). Prévenir la violence familiale. Un catalogue de vidéocassettes canadiennes sur la violence familiale  à l'intention du grand public et des personnes spécialisées dans le domaine de la prévention de la violence dans la famille, Ottawa, l’Organisme.

Les titres sont classés par ordre alphabétique sous quatre grandes rubriques : Mauvais traitements à l'égard des enfants, Agression sexuelle d'enfants, Violence faite aux femmes et Mauvais traitements envers les personnes âgées. Toutes les vidéocassettes ont été évaluées par le personnel spécialisé du Centre national d'information sur la violence dans la famille pour s'assurer qu'elles étaient utiles, modernes pertinentes et que les sujets abordés étaient traités avec la délicatesse requise. (Citation tirée du site Internet de Santé Canada)

On peut consulter le document à l’adresse Internet suivante :
http://www.hc-sc.gc.ca/hppb/violencefamiliale/html/videofrench.html

Office national du film du Canada (1996). Sacrée télé (21 min)

Dans cette comédie divertissante, une satire de la violence à la télévision, quatre enfants découvrent que les solutions proposées à la télévision et celles de la vraie vie sont souvent incompatibles. Sacrée télé met en vedette un téléviseur qui se transforme en superhéros gaffeur et incompétent. Il décide de sauver la situation et d'aider les enfants à résoudre leur mystère. Pour ce faire, il ne manque pas d'idées, puisées à même son répertoire de clichés télévisuels. Mais aucune ne fonctionne dans la réalité surtout pas quand il s'agit d'employer la méthode forte. Suivant les conseils du téléviseur, les quatre amis subissent échec après échec, pour finalement se rendre compte que la télévision n'a pas la réponse à tout. (Citation tirée du site Internet de Santé Canada)

Vidéographe (1993). Auguste et Blanche (30 min)

Un couple marié depuis 50 ans est victime de chantage de la part de leurs enfants. L'escalade de la violence débute quelques semaines avant la mort de la mère : soustraction d'argent, chantage de la part des petits-enfants, violence morale et physique de la part des enfants, et puis indifférence et rejet de la famille. Auguste trouve par hasard l'aide nécessaire pour se sortir du marasme auquel il fait face. Dès lors, la vie prend une forme plus normale. Il reprend courage et aide d'autres personnes victimes de ce drame à trouver les ressources pour mettre fin à cette indifférence sociale. (Citation tirée du site Internet de Santé Canada)

Sûreté du Québec (1990). Imaginer le pire... et gagner des prises, Montréal, l’Organisme (13 min)

Trois mises en situation d’événements de la vie courante illustrent autant de manières d’abuser des personnes âgées ou de les violenter. (Citation tirée du Catalogue des vidéos de la bibliothèque de gériatrie et de gérontologie, édition 2000)

Sûreté du Québec (1989). S’en sortir. Violence et personnes âgées, Montréal, l’Organisme (27 min)

Comment la violence physique et psychologique et l’abus des ressources financières des personnes âgées sont les principales formes de violence dont elles souffrent. Un documentaire captivant sur ce sujet et sur les moyens d’en sortir. (Citation tirée du Catalogue des vidéos de la bibliothèque de gériatrie et de gérontologie, édition 2000)



1.6 Les sites Internet

Banque de données sur les politiques et les programmes pour aînés du Canada
http://www.bdppa.gc.ca/

La BDPPA est une banque de données sur les politiques et programmes gouvernementaux destinés principalement aux aînés. Elle a été développée et est tenue à jour par les gouvernements fédéral, provinciaux et territoriaux. (Citation tirée du site Internet de la BDPPA)

Biblioguide en gérontologie à l’Université Laval
http://www.bibl.ulaval.ca/info/geront.html#3

Ce biblioguide présente les sources d'information de base en gérontologie à l’Université Laval.

Centre d’études sur les médias
http://www.cem.ulaval.ca/

Le Centre d'études sur les médias, un organisme sans but lucratif fondé en 1992, est un lieu de recherche, mais il est également un agent de concertation entre les entreprises de communication, les milieux gouvernementaux et universitaires qui poursuit deux objectifs : 1) favoriser le développement et l'organisation de la recherche sur les médias; 2) fournir aux professionnels de cette industrie un éclairage adéquat sur les problèmes auxquels ils sont confrontés et sur les contextes national et international dans lesquels ils évoluent, en vue d'améliorer leur performance sur les plans économique, social et culturel. (Citation tirée du site du CEM)

Centre d’excellence pour le bien-être des enfants
http://www.hc-sc.gc.ca/hppb/enfance-jeunesse/centres/index.html

La création des centres d’excellence pour le bien-être des enfants s’inscrit dans le cadre de la participation du gouvernement fédéral au Programme national d’action pour les enfants. Annoncés dans le discours du Trône de septembre 1997, ces centres aideront le gouvernement fédéral à jouer un rôle de chef de file dans la production et la diffusion des connaissances sur les enfants. Ils assureront une meilleure diffusion du savoir expert au sein des familles et des organisations communautaires, de même qu’auprès des éducateurs, des professionnels de la santé et des décideurs gouvernementaux, et ils amélioreront notre compréhension des enfants et de ce qui leur permet de grandir en santé. (Citation tirée de ce site)


Centre de ressources familiales du Québec
http://www.osde.ca/CRFQ/crfq.html

Le Centre de ressources familiales du Québec vient en aide aux enfants, adolescents, parents et grands-parents qui éprouvent des difficultés familiales tels les conséquences d'une séparation de corps et un divorce, les régimes matrimoniaux, les familles d'accueil, le patrimoine familial, la garde légale et les droits de visite, la pension alimentaire, l'abus physique et sexuel, la toxicomanie et le droit de visite des grands-parents. (Citation tirée du site du CRFQ)

Centre de recherche de l’Institut universitaire de gériatrie de Montréal
http://www.iugm.qc.ca/

La programmation scientifique du Centre est là pour faire face aux défis que posent le rétablissement, le maintien et la promotion de la santé des personnes âgées. Fort de son rayonnement international, le Centre constitue non seulement un lieu de référence national dans les domaines de la gérontologie clinique et de la gériatrie, mais il contribue également à faire le pont entre la recherche québécoise et celle d'ailleurs, les deux Amériques et l'Europe au premier plan. (Citation tirée du site de IUGM)

Centre international de la prévention du crime
http://www.crime-prevention-intl.org/

Le Centre international pour la prévention de la criminalité a été créé pour être au service des villes et des pays pour réduire la délinquance, la violence et l’insécurité. Afin de contribuer à la résolution des problèmes locaux de délinquance et de criminalité, il encourage le recours aux meilleures pratiques de prévention provenant d’Europe, d’Amérique du Nord et d’autres régions du monde. (Citation tirée du site du CIPC)

Centre national de prévention du crime
http://www.crime-prevention.org/

Au Canada, la lutte contre le crime s’est traditionnellement menée par des mesures répressives - l’arrestation, la condamnation, l’incarcération et la réadaptation des contrevenants. La répression du crime, bien qu'indispensable, n’est pas suffisante pour prévenir la criminalité. C’est pourquoi le gouvernement du Canada a lancé la stratégie nationale sur la sécurité communautaire et la prévention du crime. (Citation tirée du site du CNPC)

Conseil des aînés
http://www.conseil-des-aines.qc.ca/

Dans le cadre de ses travaux, le Conseil veille à propager une image positive du vieillissement en analysant les visages variés des aînés. Les publications du Conseil laissent voir que les aînés ne forment pas un groupe monolithique défini par l'unique critère de l'âge chronologique. Leur situation n'est pas que pauvreté, maladie, vulnérabilité, dépendance, improductivité… On retrouve parmi eux des pauvres et des mieux nantis, des individus qui jouissent d'une excellente santé et d'autres qui font face à la maladie ou à des incapacités plus ou moins sévères, des personnes qui s'impliquent auprès de la collectivité et certaines qui vivent un isolement social ou affectif. (Citation tirée du site du Conseil des aînés)

Conseil de développement de la recherche sur la famille du Québec
http://www.uqtr.uquebec.ca/cdrfq/

Contribuer, par la recherche, à l’avancement du savoir en matière familiale et faire servir à des fins d’éducation, de formation et de perfectionnement les connaissances résultant des travaux de recherche. (Citation tirée du site du CDRFQ)

Données générales sur les personnes âgées à Statistique Canada
http://www.hc-sc.gc.ca/seniors-aines/pubs/poster/seniors/page1f.htm

Importante source de données sur les personnes âgées.

Enfant et famille Canada
http://www.cfc-efc.ca/

Bienvenue à Enfant et famille Canada, un site Web canadien d'éducation publique unique en son genre. Cinquante-deux organisations canadiennes à but non lucratif sont réunies sous la bannière Enfant et famille Canada dans le but de fournir de l'information de qualité et des ressources crédibles sur les enfants et les familles par le biais d'un site Web facile à consulter. (Citation tirée du site de Enfant et famille Canada)

Groupe de recherche et d'action sur la victimisation des enfants
http://www.unites.uqam.ca/grave/

L’objectif général du GRAVE consiste à développer des recherches capables de contribuer à prévenir l’apparition de situations de victimisation chez les enfants et les jeunes ainsi qu’à en réduire la durée et la gravité. (Citation tirée du site du GRAVE)

Groupe de recherche en développement de l’enfant et de la famille
http://www.uqtr.uquebec.ca/gredef/

On a assisté, au cours des 20 dernières années, à l'émergence de plus en plus fréquente de regroupements de chercheurs dans le domaine des sciences humaines. Le partage des connaissances et de l'expertise, le cumul d'expériences diversifiées, les échanges d'idées et le partage des ressources sont quelques exemples des avantages que procurent de tels regroupements. Issu du Laboratoire de développement de l'enfant
établi en 1972, et reconnu comme groupe de recherche en 1986, le Groupe de recherche en développement de l'enfant et de la famille (GREDEF) constitue un lieu où ces échanges et partages se concrétisent. (Citation tirée du site du GREDEF)

Groupe de recherche sur l'inadaptation psychosociale chez l'enfant
http://www.grip.umontreal.ca/

Le Groupe de recherche sur l'inadaptation psychosociale chez l'enfant étudie l'inadaptation psychosociale de la naissance à l'adolescence dans une perspective développementale. Le GRIP est constitué de chercheurs provenant des universités de Montréal, Laval et McGill. (Citation tirée du site du GRIP)

Organisation pour la sauvegarde des droits des enfants
http://www.osde.ca/

Considérant le nombre de personnes souffrant de problèmes psychologiques, le nombre de familles monoparentales vivant sous le seuil de la pauvreté, le nombre élevé d'enfants impliqués dans la délinquance et considérant le taux alarmant de suicide  chez les jeunes, Riccardo Di Done et l'Organisation pour la sauvegarde des droits des enfants sont déterminés à orienter et concentrer leurs efforts dans la recherche de solutions préventives et durables. (Citation tirée du site de l’OSDE)

Réseau d’information des aînées et aînés du Québec
http://riaq.uqam.ca/francais/index.html

Le Réseau des aînées et aînés du Québec (RIAQ) est une initiative de la Coalition des aînées et aînés du Québec, conçue et réalisée par le Laboratoire de technologie interactive de l'UQAM dans le cadre du programme AHMADTI sur l'application des nouvelles technologies d'information et de communication (TICs) au maintien de l'autonomie des aînées et aînés et du Programme de recherche sur les communautés virtuelles. Le RIAQ regroupe tous les groupes, associations, organismes privés ou publics intéressés à devenir fournisseurs d'informations d'intérêt pour les personnes aînés. Des membres individuels peuvent aussi s'y joindre. (Citation tirée du site du RIAQ)

Santé Canada. Vieillissement et aînés
http://www.hc-sc.gc.ca/seniors-aines/

Source canadienne d’information pour les personnes âgées.

Société pour la prévention des abus envers les aînés du Québec
http://w2.lavalnet.qc.ca/spaa/

La violence, l'exploitation et les abus envers les personnes âgées préoccupent de plus en plus notre société. L'appât du gain est le facteur déterminant qui engendre la violence, les abus et l'exploitation qui se traduisent par des pressions, menaces, intimidations, abus de confiance, vols, fraudes, extorsions. Bref, tous les moyens possibles et imaginables sont utilisés par les abuseurs pour déposséder les aînés de leur patrimoine. (Citation tirée du site de la SPAAQ)

Statistiques sur la violence envers les aînés et les enfants (1999)
http://www.statcan.ca/francais/freepub/85-224-XIF/free_f.htm

Importante source d’informations sur la violence envers les aînés et les enfants.

Travail de réflexion pour des ondes positives
http://www.club-optimiste.qc.ca/trop/trop1.html

Sensibiliser la population à la violence commise, subie et consommée dans notre société et aux dommages économiques et sociaux qu’elle entraîne. (Citation tirée du site de TROP)

Vieillir sans violence (1999)
http://www.fep.umontreal.ca/violence/violence.html

La question de la violence faite aux aînés s’inscrit dans le cadre plus large de la violence familiale. Toujours, la violence est le fait de personnes qui profitent de la vulnérabilité d’un être humain pour le déposséder de ses biens, de sa dignité, de son autonomie, le privant ainsi de ses droits les plus fondamentaux. Chez les aînés, les abus prennent des formes particulières qui exigent des organismes et des personnes impliquées des réponses ouvertes et imaginatives. Nos recherches nous ont permis d’élaborer un modèle prometteur de dépistage et d’intervention dont nous vous soumettons ici les principes. (Citation tirée du site)


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