Inventaire d’outils
sur la violence
dans la communauté, chez les jeunes, dans les
écoles, dans les milieux de travail
CSQ - Centrale des syndicats du Québec2.
La violence chez les jeunes
La violence chez les jeunes peut prendre de multiples formes. On peut
parler de la criminalité et de la délinquance chez les jeunes, des phénomènes
de gang et de la violence entre jeunes. Tous ces sujets ont fait
l’objet d’une attention particulière au cours des vingt dernières
années au Canada et au Québec. Plusieurs organismes et centres de
recherche ont pour objectif de comprendre et d’agir face à la
violence chez les jeunes. On trouvera dans la section sur les sites
Internet des adresses utiles en ce sens.
La littérature comme les outils d’intervention concernant la violence
chez les jeunes sont fort nombreux. Il n’est pas dans notre intention
ici de fournir un tableau exhaustif sur ce thème. Plus modestement, il
s’agit de répertorier les ressources qui semblent les plus
pertinentes afin de mieux comprendre et de mieux agir face à la
violence chez les jeunes. Le responsable du volet de la Violence
chez les jeunes, dans la cadre de la Campagne de sensibilisation à
la prévention de la violence, est monsieur Jacques Brodeur dont les
coordonnées sont :
Jacques Brodeur
Responsable du volet : Violence chez les jeunes
Téléphone : (418) 649-8888, poste 3064
Courriel : brodeur.jacques@csq.qc.net
L’ensemble des ressources répertoriées dans ce volet sont divisées
en quatre sections :
Les données de base
Les outils de référence
Les outils de réflexion
Les outils de sensibilisation et
d’intervention
Les vidéos
Les sites Internet
2.1 Les données de base
Quelques données sur la violence
chez les jeunes
« Le taux de jeunes accusés d'infractions de violence a légèrement
diminué, soit de 1 % en 1998, et ce, pour une troisième année consécutive.
Toutefois, malgré ces récentes diminutions, le taux de jeunes accusés
d'infractions avec violence en 1998 demeure supérieur de 77 % par
rapport à il y a dix ans. L'augmentation de la criminalité de violence
chez les jeunes a été beaucoup plus importante que chez les adultes.
Depuis 1988, le taux de criminalité de violence chez les adultes a
augmenté de 6 % seulement.
Au cours des dernières années, les préoccupations concernant
l'augmentation de la violence chez les adolescentes se sont accrues.
Toutefois, le taux d'adolescentes accusées d'infractions avec violence
est demeuré au tiers de celui des adolescents. Depuis 1988, le taux
d'adolescentes accusées d'infractions de violence a plus que doublé
(+127 %), comparativement à une augmentation de 65 % chez les
adolescents.
En ce qui a trait aux infractions avec violence, les deux tiers des
adolescentes ont été accusées de voies de fait simples, c'est-à-dire
les voies de fait les moins graves. Chez les adolescents, les voies de
fait simples n'ont représenté que 46 % des accusations pour
infractions avec violence. Les adolescents ont plus tendance que les
adolescentes à être impliqués dans des infractions de gravité plus
élevée comme le vol qualifié et les voies de fait majeures.
Les adolescentes accusées d'infractions avec violence sont généralement
plus jeunes que les adolescents. Chez les adolescents, le taux de
criminalité de violence s'accroît avec l'âge, c'est à 17 ans qu'il
est le plus élevé. Chez les adolescentes, le taux atteint un sommet à
14 et 15 ans.
Les jeunes ont tendance à victimiser des personnes de leur âge qu'ils
connaissent. Six victimes de violence sur dix chez les jeunes étaient
une connaissance du jeune contrevenant présumé. Plus de la moitié (52
%) des victimes des jeunes étaient elles-mêmes des jeunes. Seulement 2
% des victimes de violence chez les jeunes étaient âgées de 55 ans et
plus en 1998. » (Juristat, 1999, p. 161-194)
Principaux outils pour comprendre
et contrer la violence chez les jeunes
Le Blanc, Marc (1999). « L’évolution de la violence chez les
adolescents québécois : phénomène et prévention », Criminologie, vol. 32, no 1, p. 161-194.
On peut télécharger cet article à l’adresse suivante :
http://www.erudit.org/erudit/crimino/v32n01/index.htm
Hamel, Sylvie et al. (1998). Jeunesse
et gangs de rue, phase II, Montréal, Institut de recherche pour le
développement social des jeunes, 440 pages.
Ce document peut être téléchargé à l’adresse suivante :
http://www.mtl.centresjeunesse.qc.ca/activites/recherche/gang_de_rue.htm
Messier, M. et al. (1998). Prévenir
la violence dans les relations amoureuses des jeunes. Répertoire
pratique, Montréal, Direction de la santé publique de Montréal-Centre,
81 pages.
On peut consulter ce document sur Internet à l’adresse suivante :
http://www.santepub-mtl.qc.ca/Violence/jeunes/programme.html
2.2 Les outils de référence
Messier, M. et al. (1998). Prévenir
la violence dans les relations amoureuses des jeunes. Répertoire
pratique, Montréal, Direction de la santé publique de Montréal-Centre,
81 pages.
Prévenir, c’est d’abord travailler au développement des jeunes en
favorisant, entre autres, la promotion des rapports égalitaires entre
les sexes, le développement de l’estime de soi et l’acquisition
d’habiletés sociales qui leur permettront d’établir un rapport à
l’autre empreint de respect et d’égalité.
Un travail efficace de prévention implique la sensibilisation
des jeunes et des adultes qui les entourent à l'ampleur du phénomène
de la violence dans les relations amoureuses, à l'identification des
différentes formes de violence et à l'acquisition d'attitudes et de
comportements leur permettant de refuser et de dénoncer toute violence
dans les relations amoureuses. Nous avons retenu les instruments
disponibles qui concernent spécifiquement la prévention de la violence
dans les relations amoureuses des jeunes ainsi que quelques programmes
ou instruments pouvant compléter l'intervention. (Citation tirée du
site de la Direction de la santé publique de Montréal-Centre)
Ce document peut être consulté sur Internet à l’adresse suivante :
http://www.santepub-mtl.qc.ca/Violence/jeunes/programme.html
Regroupement des organismes communautaires autonomes jeunesse du Québec
(1996). Répertoire des ressources
sur la violence dans les relations amoureuses des jeunes, Montréal,
l’Organisme.
On peut consulter ce document sur Internet à l’adresse suivante :
http://www.wl.csvdc.qc.ca/violence/repertoire.html
Ryan, Colleen (1996). Répertoire
national des programmes police-école de lutte contre la violence chez
les jeunes, Ottawa, Solliciteur général du Canada, 1996, 187
pages.
Au cours des dernières années, les policiers et les enseignants en
sont arrivés à reconnaître l'importance d'établir des liens de
travail fondés sur la coopération pour aborder les questions touchant
la prévention et l'intervention. La création de ces partenariats est
de plus en plus orientée par la nécessité d'enrayer les problèmes
avant qu'ils ne surgissent. Ce qui a manqué jusqu'à maintenant aux
policiers et aux enseignants au pays, c'est un moyen de communiquer
entre eux et de partager leurs succès et leurs difficultés. Le Répertoire
national des programmes police-école de lutte contre la violence chez
les jeunes a été élaboré justement pour répondre à ce besoin.
(Citation tirée du site du Solliciteur général du Canada)
Ce document peut être consulté ou téléchargé à l’adresse
Internet suivante :
http://www.sgc.gc.ca/fpub/pol/f199501/f199501.htm
La bibliothèque des Centres jeunesse de Montréal (site Internet)
La bibliothèque des Centres jeunesse de Montréal est spécialisée
dans le domaine de la violence chez les jeunes : violence « agie »
et violence subie. On y trouve de la documentation sur les gangs, la délinquance
juvénile, la négligence envers les enfants, la jeunesse en difficulté,
etc. La bibliothèque des Centres jeunesse de Montréal rassemble en un
même lieu les collections qui avaient été développées dans les
centres de réadaptation (La Clairière, Marie-Vincent,
Dominique-Savio-Mainbourg, Habitat-Soleil, Rosalie-Jetté, Carrefour des
jeunes de Montréal, Mont St-Antoine, Cité des Prairies, Boscoville,
Rose-Virginie-Pelletier, Villa Notre-Dame-de-Grâce) et au Centre des
Services sociaux du Montréal métropolitain. (Citation tirée du site
des Centres jeunesse de Montréal)
On a accès à cette bibliothèque à l’adresse Internet suivante :
http://www.mtl.centresjeunesse.qc.ca/activites/bibliotheque/biblioth.htm
2.3 Les outils de réflexion
Leschied,
Alan W. (2000). La
violence chez les adolescentes : étude documentaire et corrélations,
Ottawa, Solliciteur général du Canada, 92 pages.
Cette étude documentaire traite du phénomène de la violence chez
les adolescentes. Les chiffres publiés récemment par Statistique
Canada révèlent une augmentation des crimes de violence dans ce
segment de la population, constatation qui a mis en lumière un aspect
particulier des difficultés d'adaptation de la jeunesse laissé dans
l'ombre jusque-là. Le présent document vise donc à situer dans son
contexte le phénomène de la violence chez les adolescentes, d'abord
par un examen des études traitant de la violence chez les filles âgées
de moins de douze ans, puis par un résumé des corrélations qui se dégagent
des recherches effectuées sur la violence chez les adolescentes. On
constate des différences importantes entre les deux sexes relativement
à l'intériorisation et à l'expression de la violence. Bien que les études
existantes sur la violence chez les adolescentes soient limitées, elles
méritent toute l'attention des travailleurs sociaux et des décideurs,
en ce sens qu'il s'en dégage des thèmes importants à prendre en
compte en vue de l'adoption de stratégies d'évaluation, de traitement
et de prévention de la violence chez les adolescentes. Enfin, on
propose une orientation pour la poursuite des recherches sur le phénomène
de la violence chez les adolescentes. (Citation tirée de l’étude)
On peut consulter ce document ou le télécharger à l’adresse
Internet suivante :
http://www.sgc.gc.ca/fpub/corr/f200004%5Fleschied/f200004%5Fleschied%20report.htm
Savoie, Josée (1999). La
criminalité de violence chez les jeunes, numéro thématique de la
revue Juristat, vol. 19,
no 13.
Un Juristat portant sur une analyse détaillée des données
sur la criminalité de violence chez les jeunes de 12 à 17 ans telles
que déclarées par les services policiers canadiens paraît
aujourd'hui. Des données de référence sur le sujet avaient été
diffusées en juillet dernier dans le Juristat intitulé Statistiques
de la criminalité au Canada, 1998. Le bulletin d'aujourd'hui
traite de certaines questions additionnelles relatives à la violence
chez les jeunes, des différences entre adolescentes et adolescents qui
commettent des infractions avec violence ainsi qu'entre les jeunes et
les adultes contrevenants. (Citation tirée du site de Statistique
Canada)
On peut lire un résumé de ce document à l’adresse Internet suivante :
http://www.statcan.ca/Daily/Francais/991221/q991221c.htm
On peut commander ce document à l’adresse Internet suivante :
http://www.statcan.ca/francais/IPS/Data/85-002-XPF99013.htm
Gagnon, Suzanne, André Brodeur et Anick Murphey (1999). Le taxage dans nos écoles, in La violence... l'affaire de qui?
Actes du colloque 1998, Montréal, Les Centres jeunesse de Montréal,
1999, p. 171-172.
Pour commander, communiquez avec la bibliothèque :
Les Centres jeunesse de Montréal
Bibliothèque
1001, boul. de Maisonneuve Est, 5e étage
Montréal (Québec) H2L 4R5
Téléphone : (514) 896-3396
Télécopieur : (514) 896-3483
Courriel : bibliotheque@mtl.centresjeunesse.qc.ca
Sheriff,
Theresa et Éric Paquet (1999). Trop
de violence... trop de silence,
rapport préliminaire présenté au Groupe de travail portant sur le phénomène
du taxage à Québec, Québec, Centre jeunesse de Québec, 83 pages.
On peut se procurer le document à l’adresse suivante :
Madame Sylvie Drolet
Centre de recherche sur les services communautaires - local 2446
Pavillon De Koninck
Université Laval
Québec (Québec) G1K 7P4
Téléphone : (418) 656-2674
Télécopieur : (418) 656-7787
Courriel : Sylvie.Drolet@crsc.ulaval.ca
Pepler, Debra J. et Farrokh Sedighdeilami (1998). Les filles agressives au Canada, Hull, Direction des ressources
humaines du Canada, 47 pages.
À ce jour, la majorité des études portant sur l'agressivité ont mis
l'accent sur les garçons agressifs puisque leurs problèmes de
comportement sont plus courants et graves que ceux des filles. On a fait
peu de cas des risques et des conséquences à long terme de
l'agressivité chez les filles. Cependant, les données sur les filles
agressives qui passent à l'âge adulte portent à penser que les filles
qui sont agressives peuvent également constituer un problème social
important au Canada. En outre, comme c'est le cas des garçons, il est
peu probable que les problèmes des filles agressives disparaissent avec
le temps. Dans ce document de recherche, il est question des facteurs de
risque biologiques et sociaux associés à la manifestation de problèmes
d'agressivité ainsi que des difficultés psychosociales liées à des
niveaux élevés d'agressivité chez les filles. (Citation tirée du
site Internet de DRHC)
On peut télécharger ou consulter ce document sur Internet à
l’adresse suivante :
http://www.hrdc-drhc.gc.ca/arb/publications/research/abw-98-30f.shtml
Sprott, Jane B. et Anthony N. Doob (1998). Qui sont les enfants de 10 et 11 ans les plus violents? Prélude à la délinquance
future, Hull, Direction des ressources humaines du Canada, 35 pages.
En général, on considère que les comportements délinquants sont le résultat
d'interactions complexes entre des caractéristiques individuelles et
des facteurs sociaux (famille, camarades), conjoncturels (école,
maison) et liés au voisinage. Plus les facteurs de risque sont nombreux
et présents sur de nombreux plans (individuel, social, conjoncturel et
voisinage), plus les enfants sont à risque. Dans la présente étude,
l'agressivité physique est utilisée comme un indicateur de délinquance
précoce. L'objectif était d'essayer de comprendre certaines des différences
entre les enfants qui semblent être très agressifs et ceux qui ne le
sont pas, et de comprendre comment les jeunes fauteurs de troubles se
perçoivent eux-mêmes et sont perçus par d'autres personnes. Même si
les enfants qui se considèrent agressifs et ceux qui sont qualifiés
d'agressifs par un parent ou un enseignant ne sont pas toujours les mêmes,
les résultats sont assez homogènes : les enfants qualifiés
d'agressifs sont plus susceptibles de déclarer qu'ils sont malheureux
ou rejetés. Par exemple, ils sont plus susceptibles de dire qu'ils sont
rejetés par leurs parents ou les autres enfants et n'ont pas tendance
à considérer que leurs professeurs sont justes. L'adulte du ménage
qui connaît le mieux l'enfant et l'enseignant de l'enfant donnent des
descriptions semblables des enfants de dix et onze ans qui sont
agressifs. (Citation tirée du site Internet de DRHC)
On peut télécharger ou consulter ce document sur Internet à
l’adresse suivante :
http://www.hrdc-drhc.gc.ca/arb/publications/research/abw-98-29f.shtml
Herbert, Jacques, Sylvie Hamel et Ginette J. Savoie (1997). Jeunesse
et gangs de rue, phase I, Montréal, Institut de recherche pour le développement
social des jeunes, 98 pages.
À maints égards, les jeunes appartenant aux gangs diffèrent de ceux
qui n'en font pas partie. De fait, ils proviennent surtout de familles
monoparentales, socio-économiquement défavorisées et dans lesquelles
la supervision et les modèles parentaux sont déficients. Au chapitre
de la personnalité, ces jeunes ressentent un fort sentiment
d'isolement, ont une faible estime de soi et une vision plutôt sinistre
de la réalité. À l'école, ils tendent à accuser des déficits
importants qui, progressivement, les conduisent au décrochage. En général,
ils sont plus enclins que les jeunes de leur âge à consommer de façon
abusive de l'alcool et de la drogue. En outre, on les retrouve dans des
environnements davantage marqués par la désorganisation sociale et la
pauvreté. Quant à leurs premiers contacts avec les gangs, ils
surviennent à la préadolescence et souvent à l'école. Par contre,
ces jeunes ne semblent pas se distinguer de leurs vis-à-vis sur le plan
du développement intellectuel. Bien que l'identification de ces caractéristiques
soit principalement issue de la littérature américaine, les données
disponibles laissent croire que les jeunes Québécois affiliés aux
gangs ont plusieurs points communs avec les membres de gangs américains,
dont le fait d'être majoritairement de sexe masculin et issus des
communautés culturelles. Aussi, dans une perspective de prévention et
d'intervention, ces données sont des plus utiles. (Citation tirée du
rapport de recherche)
Ce document peut être téléchargé à l’adresse suivante :
http://www.mtl.centresjeunesse.qc.ca/activites/recherche/gang_de_rue.htm
Hamel, Sylvie et al. (1998). Jeunesse
et gangs de rue, phase II, Montréal, Institut de recherche pour le
développement social des jeunes, 440 pages.
[...] la phase 2 du projet « Jeunesse et gangs de rue » sert
à vérifier, d’une part, jusqu’à quel point le vécu des jeunes
Montréalais dans les gangs correspond à ce que révèle la littérature
et, d’autre part, à indiquer si les pistes d’action que nous montre
cette dernière sont bien celles qui conviennent le mieux à la réalité
montréalaise pour explorer ensuite comment pourrait s’opérationnaliser
un plan stratégique quinquennal. (Citation tirée de la recherche)
Ce document peut être téléchargé à l’adresse suivante :
http://www.mtl.centresjeunesse.qc.ca/activites/recherche/gang_de_rue.htm
Bonta, James et R. Karl Hanson (1994). L'évaluation
du risque de violence : mesure, incidence et stratégies de
changement, Ottawa, Solliciteur général du Canada.
Dans ce document, nous examinons le phénomène du crime avec violence
au Canada, la façon dont il est mesuré et son évolution au cours des
dernières années. Notre conclusion est la suivante : le crime avec
violence constitue un problème social grave, mais qui n'a toutefois pas
augmenté de façon appréciable au cours des dernières années. Les
enquêtes sur la victimisation menées aux États-Unis de même que les
quelques sondages réalisés au Canada semblent indiquer que, s'il y a
une tendance qui se dégage, c'est plutôt celle d'une baisse des taux
de victimisation au cours de la première décennie. Pourtant, la
plupart des citoyens croient que les taux de crimes graves sont en
hausse. Puisque la crainte du crime éprouvée par la population est
sans rapport avec les statistiques sur les actes de violence, nous
devons nous interroger sur les facteurs qui expliquent cet écart. Il y
a un certain nombre d'explications possibles : les méthodes de déclaration
statistique, les reportages des médias sur les crimes avec violence,
ainsi que des facteurs sociaux et démographiques. (Citation tirée de
l’étude)
On peut consulter ce document à l’adresse Internet suivante :
http://www.sgc.gc.ca/fpub/corr/f199409/f199409.htm
Bala, Nicolas (1994). La
violence chez les jeunes. Guide pour la police, Ottawa, Solliciteur
général du Canada.
L'utilisateur devrait lire tous les chapitres du guide. Cependant, pour
que celui-ci puisse servir d'outil de référence lorsqu'on s'occupe
d'un cas, nous l'avons structuré suivant les divers contextes dans
lesquels les actes de violence sont commis. Les grandes catégories de
cas sont les suivantes : incidents de violence signalés, groupes
d'incidents apparentés et incidents non signalés ou considérations générales.
Les contextes examinés comprennent : 1) la violence à l'école; 2) la
violence de groupe; 3) la violence dans la famille ou au centre
d'accueil; 4) la violence dans les fréquentations amoureuses; 5) les
agressions sexuelles; 6) les comportements violents des enfants âgés
de moins de 12 ans. (Citation tirée de l’étude)
On peut consulter ou télécharger ce document à l’adresse Internet
suivante :
http://www.sgc.gc.ca/fpub/pol/f199455/f199455.htm
2.4 Les outils de sensibilisation et d’intervention
La page jeunesse du site Web des Centres jeunesse de Montréal
La création d’une page jeunesse sur le site Web des Centres jeunesse
de Montréal vise à mettre à la disposition des jeunes un moyen
d’expression moderne pour échanger sur la problématique de la
violence. S’adressant spécifiquement aux jeunes, qu’ils reçoivent
ou non des services des centres jeunesse de Montréal, ce projet a pour
but d’informer et d’éduquer cette clientèle sur les diverses problématiques
touchant plus particulièrement la violence. Cette démarche a également
pour objectif d’encourager les jeunes à reconnaître leurs actes,
leurs conséquences et à assumer leurs responsabilités. (Citation tirée
du site Web de l’Institut universitaire dans le domaine de la violence
chez les jeunes)
On peut accéder à cette page Web à l’adresse suivante :
http://www.mtl.centresjeunesse.qc.ca/jeunesse/
Laboratoire de recherche sur les alternatives à la violence offertes
aux jeunes de la région de Montréal
Ce laboratoire regroupe trois projets : la Gestion de la colère pour
les 6 à 18 ans (Poing-zéro), le Groupe d’intervention violence (GIV)
et le Groupe de psychothérapie pour adolescents violents dans un
contexte familial et/ou social. Le
projet Poing-zéro s’adresse aux garçons et filles âgés entre 6
et 18 ans ayant subi et démontrant des comportements agressifs ou
violents et vise à leur permettre d’acquérir de nouveaux modes
d’expression de leur violence. Cette intervention, qui se réalise
dans le milieu, se veut aussi une alternative au placement des jeunes
affichant des comportements violents. Le
projet GIV, pour sa part, s’adresse à des jeunes placés en
centre de réadaptation en vertu de la Loi sur la protection de la
jeunesse ou de la Loi sur les jeunes contrevenants. Il s’agit d’une
approche de groupe dont les objectifs visent à ce que le jeune
reconnaisse ses comportements et ses attitudes dans les situations où
il agit avec violence, qu’il se responsabilise face à ces actes
violents et qu’il développe des alternatives socialement acceptables.
Le Groupe de psychothérapie pour
adolescents violents dans un contexte familial et/ou social
s’adresse à des jeunes de 14 à 17 ans référés, autant par les
Centres jeunesse de Montréal que par les CLSC ou les centres
hospitaliers. Ils présentent des comportements violents à l’endroit
de figures proches d’eux (ex. : utilisation d’objets pour intimider,
violence verbale continue, vol ou vandalisme contre des proches, etc.),
mais ne présentent pas d’actes violents organisés dans l’atteinte
de buts délinquants. Pour être admis au programme, le jeune doit
d’abord vivre un minimum d’inconfort et avoir une motivation à
revoir ses attitudes afin de les comprendre et de les modifier vers des
attitudes socialement acceptables. Il s’agit d’une approche de
groupe dans laquelle le jeune s’engage pour un minimum de 15 semaines.
Les parents, si ce n’est la famille au complet, participent à la démarche
et font l’objet d’un suivi familial de façon à favoriser l’évolution
d’une dynamique autre chez l’agresseur. (Citation tirée du site
Internet des Centres jeunesse de Montréal)
On peut consulter la page Web de ce laboratoire à l’adresse Internet
suivante :
http://www.mtl.centresjeunesse.qc.ca/activites/servpointe/laboratoire.htm
Kathy Hunt Communications (1999). En
tandem avec les jeunes, Ontario, Parcs et loisirs Ontario.
En tandem avec les jeunes a été élaboré à la suite des réactions
manifestées à l’égard de la brochure publiée dans le cadre de
l’atelier - Jeunes à risque : Bienfaits des loisirs sur les jeunes
Canadiens - à l’intention du personnel par le ministère des Affaires
civiques, de la Culture et des Loisirs (MACCL) en 1996. Cet ouvrage est
fondé sur les résultats de l’étude nationale intitulée Impact et
bienfaits de l’activité physique et des loisirs sur les jeunes
Canadiennes et Canadiens à risque, commanditée par l’Association
canadienne des parcs et loisirs, le Conseil interprovincial du sport et
des loisirs (CISL) et Santé Canada. L’étude a été réalisée par
l’Université du Nouveau-Brunswick en 1995-1996. Le personnel du MHCCL
s’est servi de la brochure, lors d’ateliers, afin d’informer les
gens et leur faire comprendre que l’activité sportive et les loisirs
peuvent aider à réduire les risques auxquels les jeunes sont exposés.
Les participants aux ateliers ont été invités à agir au sein de
leurs collectivités et à instaurer des loisirs de façon à réduire
les risques auxquels les jeunes sont exposés. La présente publication
de suivi, élaborée à la demande des dirigeants municipaux et des
participants aux ateliers, contient des informations pratiques sur la façon
de relever ce défi. (Citation tirée de l’étude)
On peut consulter ce document sur Internet à l’adresse suivante :
http://www.lin.ca/lin/resource/html/twyfr.htm
Demers, Luc (1999). Les programmes
de prévention de la violence chez les jeunes, in La violence...
l'affaire de qui?, Actes du Colloque 1998, Montréal, Les Centres
jeunesse de Montréal, p. 85-87.
Pour commander, communiquez avec la bibliothèque :
Les Centres jeunesse de Montréal
Bibliothèque
1001, boul. de Maisonneuve Est, 5e étage
Montréal (Québec) H2L 4R5
Téléphone : (514) 896-3396
Télécopieur : (514) 896-3483
Courriel : bibliotheque@mtl.centresjeunesse.qc.ca
Hébert, Jacques (1999). La prévention de la violence « agie »
chez les jeunes : un programme pour l'an 2000, in La violence... l'affaire de qui?, Actes du Colloque 1998, Montréal,
Les Centres jeunesse de Montréal, p. 31-37.
Pour commander, communiquez avec la bibliothèque :
Les Centres jeunesse de Montréal
Bibliothèque
1001, boul. de Maisonneuve Est, 5e étage
Montréal (Québec) H2L 4R5
Téléphone : (514) 896-3396
Télécopieur : (514) 896-3483
Courriel : bibliotheque@mtl.centresjeunesse.qc.ca
Le Blanc, Marc (1998). Intervenir
autrement : un modèle différentiel pour les adolescents en
difficulté, Montréal, PUM, 318 pages.
On peut commander ce livre auprès des Presses de l’Université de
Montréal :
Les
Presses de l'Université de Montréal
Adresse
civique :
2910, boul. Édouard-Montpetit, bureau 17
Montréal (Québec) H3T 1J7
Adresse postale :
C.P. 6928, succ. Centre-ville
Montréal (Québec) H3C 3J7
Téléphone : (514) 343-6933
Télécopieur : (514) 343-2232
Courriel : pum@umontreal.ca
Centre national de prévention du crime (1997). Prévenir le crime en investissant dans les familles : promouvoir
des apports positifs pour les enfants de six à douze ans, Ottawa,
Le Conseil, 51 pages.
Voici la deuxième d’une série de trois brochures publiées par le
Conseil national de prévention du crime. L’objectif de la série est
de présenter un modèle de prévention du crime et de la victimisation
parmi les jeunes, fondé sur une approche de développement social et
suggérant un ensemble d’initiatives de prévention s’appliquant aux
divers stades du développement des jeunes. La première publication, Prévenir
le crime en investissant dans les familles : une approche intégrée
afin de promouvoir des apports positifs pour nos enfants, portait
principalement sur les familles et les enfants de moins de six ans. La
présente brochure commence là où s’arrêtait la précédente; elle
porte sur les interventions auprès des enfants d’âge scolaire (de
six à douze ans) et sur leurs familles. Dans la troisième brochure,
nous nous pencherons sur les initiatives de prévention destinées aux
adolescents (de douze à dix-huit ans). (Citation tirée du site
Internet du CNPC)
On peut consulter ce document sur Internet à l’adresse suivante :
http://www.crime-prevention.org/francais/publications/children/family2/index.html
Centre national de prévention du crime (1997). Prévenir le crime en investissant dans les familles et les collectivités :
promouvoir des apports positifs pour les jeunes de douze à dix-huit ans,
Ottawa, Le Conseil, 123 pages.
La présente publication est la dernière d'une série de trois,
portant sur des modèles de prévention, et publiées par le Conseil
national de prévention du crime. Le Conseil a pour but de traduire,
dans des stratégies pratiques et réalisables, son engagement à l'égard
de la prévention du crime au moyen du développement social. Les modèles
portent sur les causes sous-jacentes de la criminalité et fournissent
des suggestions pour faire correspondre les programmes et les services
aux besoins des jeunes aux différentes étapes de leur développement.
La première publication intitulée Prévenir le crime en investissant dans les familles : une approche intégrée
afin de promouvoir des apports positifs pour nos enfants porte
principalement sur les familles et les enfants de moins de six ans. Dans
la deuxième publication intitulée Prévenir
le crime en investissant dans les familles : promouvoir des apports
positifs pour les enfants de six à douze ans, il est question des
interventions auprès des enfants plus âgés. Dans la présente
publication, nous nous pencherons sur les jeunes de douze à dix-huit
ans. (Citation tirée du site Internet du CNPC)
On peut consulter ce document sur Internet à l’adresse suivante :
http://www.crime-prevention.org/francais/publications/youth/family/index.html
Centre national de prévention du crime (1997). Prévenir le crime en investissant dans les familles et les collectivités :
une approche intégrée pour promouvoir des apports positifs pour nos
enfants, Ottawa, Le Conseil, 61 pages.
Oui, la criminalité juvénile est un problème qui concerne la
collectivité et qui nous touche tous. Les adolescents et les jeunes
adultes représentent une partie disproportionnée des personnes accusées
de crime au Canada. On estime que trois pour cent des adolescents du
Canada ont des contacts avec le système de justice pour les jeunes. Un
nombre relativement faible des jeunes qui sont accusés de crime
commettent une forte proportion de l'ensemble des infractions perpétrées
par les jeunes. Ces jeunes délinquants endurcis, qu'on appelle souvent
récidivistes, continuent fréquemment de commettre des infractions
criminelles durant leur vie adulte. Les études révèlent que, durant
leur enfance, ces personnes ont été exposées à une accumulation de
facteurs de risque. Les jeunes, qui sont décrits comme des récidivistes,
ont été des victimes à de nombreuses occasions durant leur enfance.
Pour rompre ce cycle, nous devons axer la prévention sur les stratégies
qui apportent un soutien à la famille et assurent la sécurité des
enfants dès leur plus jeune âge. (Citation tirée du site Internet du
CNPC)
On peut consulter ce document sur Internet à l’adresse suivante :
http://www.crime-prevention.org/francais/publications/children/family/index.html
Audette, Marie-Josée et Réal Daigneault (1995). Programme d'intervention en matière de violence chez les adolescents et
leur famille, Centres jeunesse de la Montérégie, 48 pages
Ryan,
Colleen et Frederick Mathews (1995). Répertoire
national des programmes police-école de lutte contre la violence chez
les jeunes,
Ottawa, Solliciteur général du Canada.
La violence chez les jeunes est un problème complexe, auquel il
n'existe pas de solutions faciles. La complexité du problème nécessite
une réponse concertée, faisant appel à de nombreux partenaires dans
la collectivité. Les policiers, les enseignants, les élèves, les
parents et les autorités gouvernementales reconnaissent la nécessité
et l'importance de créer et de maintenir des liens de travail
productifs entre tous les types d'organismes et d'organisations au
service des jeunes. Les collectivités qui sont disposées à promouvoir
le resserrement de ces liens entre tous les organismes, professionnels
et autres personnes au service de la jeunesse, se donnent les meilleurs
atouts pour réussir. (Citation tirée de l’étude)
On peut consulter ce document à l’adresse Internet suivante :
http://www.sgc.gc.ca/fpub/pol/f199501/f199501.htm
Centre national de prévention du crime (1995). Des limites claires et des possibilités réelles : solutions pour
la prévention de la criminalité chez les jeunes, Ottawa, Le
Conseil, 17 pages.
Les habitants de l'ensemble du Canada cherchent de meilleurs moyens de
comprendre et de prévenir la criminalité chez les jeunes. De plus en
plus de gens craignent que les solutions traditionnelles ne fonctionnent
pas, sur le plan social ou sur le plan économique. Envoyer les jeunes
devant les tribunaux et les enfermer coûte beaucoup d'argent et n'empêche
pas la criminalité chez les jeunes. Quelles sont alors les solutions?
Pouvons-nous faire quelque chose contre la criminalité chez les jeunes
qui fonctionne réellement et qui rende nos collectivités plus sûres?
Comment pouvons-nous aider les jeunes à faire des choix qui ne
conduisent pas à la criminalité? (Citation tirée du site Internet du
CNPC)
On peut consulter ce document sur Internet à l’adresse suivante :
http://www.crime-prevention.org/francais/publications/youth/clear/index.html
Chamberland, Claire (1995). La
thématique de la recherche : le développement social des jeunes
et la prévention de la violence, Montréal, Les Centres jeunesse de
Montréal, 45 pages.
Pour commander, communiquez avec la bibliothèque :
Les Centres jeunesse de Montréal
1001, boul. de Maisonneuve Est, 5e étage
Montréal (Québec) H2L 4R5
Téléphone : (514) 896-3396
Télécopieur : (514) 896-3483
Courriel : bibliotheque@mtl.centresjeunesse.qc.ca
2.5 Les vidéos
Tremblay, Richard (1998). Le développement
des comportements violents chez les jeunes (conférence-midi), Montréal,
Les Centres jeunesse de Montréal, 1998, (vidéo).
On peut obtenir des renseignements sur cette vidéo en écrivant aux :
Centres jeunesse de Montréal
4675, rue Bélanger Est
Montréal (Québec) H1T 1C2
Courrier@mtl.centresjeunesse.qc.ca
Office national du film (1997). Seul
dans mon putain d'univers (83 min).
Ils sont quatre, mais ils sont seuls. Seuls face à leur avenir, après
des années passées en centre d'accueil. Bien sûr, ils ont volé et
cogné, consommé et trafiqué quantité de drogues. Ils sont très
forts. Ils sont aussi blessés et vulnérables, saisis par moments de
fulgurants éclairs de lucidité. Car ici, sous le regard de la caméra,
ils peuvent parler. Les mots sont crus, vrais, bouleversants. Comme le
sont les images, qui arrivent à tout capter de leur « putain
d'univers ». En leur donnant la parole, Seul dans mon putain d'univers traduit la réalité d'une génération
dont la violence n'est autre que l'expression d'un profond désarroi,
voire d'une crise de civilisation. Et c'est là que réside le miracle
du film, qui mêle réalisme, sensibilité et compassion pour scruter l'âme
de la jeunesse de notre temps. Et pour secouer notre indifférence.
(Citation tirée du site Internet de l’ONF)
Gendarmerie du Canada (1996). La
violence et les jeunes - les faits (60 min)
Au moyen des mises en scène, cette émission dynamique et interactive
apprend aux jeunes à désamorcer les situations de violence
potentielle, et aux parents à les y aider.
Gagnante d'un prix au FESTIVAL CANPRO 1996 et du prix au mérite
de l'AMTEC en 1996, cette vidéo touche les sujets suivants :
l'intimidation, les gangs, les armes, les chiffres et les viols par une
connaissance. Ce programme s'adresse aux jeunes de 8 à 18 ans et vise
à leur donner les moyens de réagir pour faire échec au crime. Hôtes :
Jackson Davies et Sasha Vracarevic. (Citation tirée du site de la
Gendarmerie royale du Canada)
On peut commander ce document à l’adresse Internet suivante :
http://www.rcmp-ccaps.com/french/video_fr.htm
Victoria
Women’s Transition House (1992).
Dès
le début
(25 min).
Conçue pour prévenir dès le début la violence dans les relations
amoureuses, cette vidéo de 25 minutes présente une variété de
situations et de réactions possibles vis-à-vis de cette violence. Les
premiers signes d’un comportement agressif, l’escalade de la
violence, les moyens pour se protéger et s’en sortir, de même que
l’importance du soutien des pairs y sont bien démontrés. On y présente
le point de vue des jeunes directement concernés par le problème et
celui de leur entourage. Intégrés à la dramatique, les commentaires
et le questionnement de deux jeunes (un gars et une fille) viennent
nourrir la réflexion du spectateur tout en lui permettant de prendre un
certain recul face aux situations illustrées. (Citation tirée du site
Internet de la Direction de la santé publique de Montréal-Centre)
Ce document peut être obtenu à l’Office national du film à
l’adresse suivante :
http://www.onf.ca
2.6 Les sites Internet
Association canadienne pour la santé des adolescents
http://www.acsa-caah.ca/fran/main3.html
Ce site comprend de nombreux articles sur les adolescentes et
adolescents et sur les problèmes (santé, violence, etc.) vécus par
ces derniers.
Institut de recherche pour le développement social des jeunes
http://www.mtl.centresjeunesse.qc.ca/activites/recherche/recherche.htm
L’IRDS assume les quatre fonctions suivantes : 1) élaborer et réaliser
des recherches scientifiques pertinentes et utiles pour le développement
social des jeunes en mettant à contribution l’expertise universitaire
et la connaissance des besoins cernés par les milieux d’intervention;
2) contribuer au transfert des connaissances et des expertises générées
par la réalisation du programme de recherche en diffusant largement les
résultats de ses recherches; 3) participer au développement d’une
culture de recherche interdisciplinaire et multidisciplinaire dans les
domaines de la jeunesse et de la prévention de la violence afin de
favoriser la collaboration entre les milieux de pratique et les milieux
universitaires; 4) promouvoir la formation de chercheurs et
d’intervenants polyvalents dont la mission commune est le développement
de connaissances et l’amélioration des pratiques. (Citation tirée du
site de l’IRDS)
Institut universitaire dans le domaine de la violence chez les jeunes
http://www.mtl.centresjeunesse.qc.ca/activites/inst-univ.htm
Afin de passer d’un projet collectif au projet d’une collectivité
mobilisée pour contrer et prévenir la violence chez les jeunes, les
Centres jeunesse de Montréal poursuivent des objectifs bien spécifiques.
Améliorer la qualité des services en matière de violence chez les
jeunes, les évaluer et en démontrer l’impact. Dans le domaine de la
violence chez les jeunes, devenir un important pôle d’attraction de
formation universitaire et de perfectionnement pour les intervenants. Développer
un leadership reconnu par les pairs, par les autres établissements ou
organismes, par les partenaires d'autres secteurs d'activités et, plus
particulièrement, les universités. Développer une recherche de haut
calibre avec des chercheurs internes et extérieurs aux Centres jeunesse
de Montréal. (Citation tirée du site des Centres jeunesse de Montréal)
L'Enquête longitudinale nationale sur les enfants et les jeunes
http://www.hrdc-drhc.gc.ca/arb/nlscy-elnej/
L'Enquête longitudinale nationale sur les enfants et les jeunes (ELNEJ)
est une étude exceptionnelle portant sur les Canadiens, de la naissance
à l'âge adulte, qui fournit pour la première fois une source unique
de données permettant d'étudier le développement de l'enfant dans
divers contextes, y compris les divers modes de vie associés au développement
sain. L'enquête et le programme de recherche ont été conçus afin
d'appuyer l'élaboration de politiques fondées sur les faits, en
utilisant une perspective du développement humain au cours des premières
décennies de la vie. Ils cherchent à répondre à des questions
fondamentales comme « Le bon développement au cours de la petite
enfance peut-il présager de la réussite ultérieure? » et
« Dans l'affirmative, investissons-nous suffisamment dans les
enfants? » (Citation tirée du site de Développement des
ressources humaines Canada)
La page jeunesse du site Web des Centres jeunesse de Montréal
http://www.mtl.centresjeunesse.qc.ca/jeunesse/
Bienvenue au site jeunesse. Ce site s’adresse spécifiquement aux
jeunes, qu’ils reçoivent ou non des services des Centres jeunesse de
Montréal. Il vise à informer et éduquer les jeunes sur leurs diverses
préoccupations et, plus particulièrement, celle de la violence.
(Citation tirée du site des Centres jeunesse de Montréal)
Programme anti-violence pour jeunes
http://www.geocities.com/anti_violence_2000/
Ce programme éducatif donne l'opportunité aux enfants de parler de la
violence. Nous souhaitons qu'à long terme ces derniers puissent
modifier leurs attitudes et comportements à l'égard de la violence.
Les premiers thèmes du programme sont axés sur l'individu : la
compréhension de soi-même, l'examen de notre identité. Graduellement,
le programme amène les jeunes à réfléchir sur le monde qui les
entoure, sur leurs amis ainsi que leur famille. Ceci est suivi par des
discussions sur la violence et ses composantes : les conflits, la
gestion de la colère et la verbalisation. La dernière discussion de
groupe porte sur la communauté. Nous espérons que les jeunes reconnaîtront
qu'ils ont un rôle à jouer au sein de leur communauté. (Citation tirée
de ce site Internet)
Arrêtons la violence chez les jeunes
http://www.hc-sc.gc.ca/hppb/violencefamiliale/html/vol13n2f/vol13n2f.html
Numéro spécial (en ligne) de la revue Vis-à-Vis
du Conseil canadien du développement social. On peut trouver sur cette
page Web de nombreuses informations pertinentes en ce qui concerne la
violence chez les jeunes et envers les jeunes.
Jeunesse, J’écoute
http://jeunesse.sympatico.ca/index.html
Site pour les jeunes où on traite, entre autres, de violence sexuelle
et de mauvais traitements.
GCC la violence
http://www.gcchm.qc.ca/
Le Groupe communication collective est un organisme sans but lucratif
qui a pour mission la sensibilisation et la prévention de la violence.
En collaboration avec les différentes ressources du quartier
Hochelaga-Maisonneuve, le GCC cherche à briser le cycle de la violence
en intervenant auprès des jeunes de 6 à 17 ans. L'organisme offre des
services aux jeunes en prônant des interventions et des activités de
qualité où les jeunes, accompagnés par des adultes significatifs,
prennent en charge leurs loisirs et leurs réalités scolaires afin de
lutter contre l'oisiveté et le désœuvrement auxquels ils sont
confrontés quotidiennement. Les enjeux sociaux et familiaux, modifiés
depuis quelques années par de fortes décroissances économiques, ont
amené le Groupe communication collective à devenir une extension de la
famille. Les institutions scolaires et les parents, bien que munis de
bonne volonté, ont de plus en plus de difficulté à faire face au
contexte économique difficile. (Citation tirée de ce site) |
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